Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitywhat you deserve (camille)
I LOVE HARVARD
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
AccueilAccueil  
  • RechercherRechercher  
  • MembresMembres  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • Le deal à ne pas rater :
    Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
    Voir le deal

    what you deserve (camille)
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postJeu 18 Aoû - 18:37
    taggercitereditionsupprimeradresse


    @Camille Harrington :heaart: - 21 AOUT 2022 Et le voici, le clap de fin sur ce summer camp. Le retour à la réalité. Celui qui fait mal. La fin de huit semaines de vacances, huit semaines d'une parenthèse de bons moments et de souvenirs. Si tu avais déjà voyagé sur le continent Africain, ce périple organisé t'as apporté bien plus encore. Sourire au bord des lèvres, tu te remémore l'anniversaire d'Elio sur la plage, les après midi avec tes amis, la fête organisée par Lucas et les diverses soirées officielles et officieuses. Ce fut de très bon moments entourés de belle personne et tu doit avouer que ton cœur se sert un petit peu à l'idée de ne plus jamais voir certains visages rencontrés et côtoyés durant les dernières semaines. Mais il y a aussi à Boston du monde qui t'attend. Des choses à régler. Un job à reprendre. Tu ne pourras pas éternellement vivre de voyage Noélie. Cette vie de princesse n'est pas pour toi. Non pas parce que tu n'as pas la motivation de te l'offrir. Mais surtout parce que tu ne méritera jamais ce genre de bonheur. Lucide sur la propre finalité de ta vie, tu sais que la roue ne tourneras pas du bon côté pour toi. Certes, ton existence est bien moins minable désormais qu'il y a quelques années, mais tu es consciente de ton comportement toxique envers toi-même. Assise côté hublot de l'avion, tu secoue la tête et te concentre sur la beauté du paysage extérieur et de ses nuages baignées de rayon de soleil couchant pour chasser tes idées. Eviter de trop penser, ne pas regarder la vérité en face comme à ton habitude. Tu as toujours refuser de poser le doigt sur le mal qui te ronge, cette addiction et ce besoin quasi maladif de toujours chercher les sensations et les rapports charnels avec hommes ou femmes. Comme si t'avais besoin de ça pour exister.
    **
    "j'hanterai tes pensées lorsque tu ouvriras les cuisses."
    tu te réveille en sursaut, clignant trois fois des paupières avant de revenir à la réalité. tu t'étais assoupis si vite, claqué par les derniers jours de voyage et le décalage horaire que tu met quelques précieuses secondes avant de te rappeler où tu te trouve. Ces paroles qui te hantent. Il avait eu raison, Camille. Et tu déteste devoir te l'avouer. Tu te déteste pour t'être laisser affectée et blessée par ses mots. Tu déteste cette emprise que les quelques phrases piquantes du brun on laissées en toi. Si seulement tu avais eu de la répartis ce jour-ci. Si tu avais su lui rétorquer ses propres travers, plutôt que de laisser son venin se répandre en toi. Sans jamais le formuler vraiment, tu regrettes d'avoir croisé sa route et de l'avoir laisser rentré dans ta vie. Il n'aurait du être qu'une parenthèse, un exutoire et rien qu'une bonne aventure parmi d'autre. Tu l'avais choisi pour être celui vers qui tu te tournes pour assouvir tes pulsions et finalement, il n'as apporté que confusion, sentiment de honte et de haine confondus. Force est de constaté qu'il n'est pas seulement représentatif de la part sombre en toi, il est aussi bien plus fort que toi. Mais s'il a ébranlé le château de cartes que représente ton mental, tu ne le laissera pas l'abattre entièrement.
    **
    Il est une heure du matin lorsque l'avion se pose sur Boston et malgré la longueur du vol et les quelques siestes tu te sens littéralement vidé de ton énergie. A peine assez réveillé pour te bouger, tu traines les pieds jusqu'au tapis roulant où sont entreposés les valises priant pour que la tienne ne reste pas bloquée des heures avant de pouvoir la récupérer. Si dieu existe, il semble t'avoir entendu puisque c'est seulement au bout de deux minutes d'attente que tu aperçois ta valise noir à la poignée rouge glissé vers toi. Un pas en avant puis tu pose la main sur le bagage contenant un nombres impressionnant de vêtements et de souvenirs précieux. Pourtant sûr de toi, ce n'est finalement pas sur la poignée en plastique que ta main se referme, mais sur les phalanges d'une autre main. Perturbée mais prête à te battre pour récupérer TA valise, tu t'apprête à incendier celui ou celle qui ose abuser de ta patience après un si long vol. Sauf que ta gorge ce sert douloureusement lorsque tes yeux se posent sur son visage ; le seul que tu ne voulait pas voir : Camille.
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postSam 20 Aoû - 0:53
    taggercitereditionsupprimeradresse
    Des âmes qui partent, d'autres qui reviennent, des âmes qui se retrouvent ou se quittent. Sociologiquement, l'aéroport était le lieu d'observation à grand échelle parfait pour se perdre en réflexion, tellement il pullulait de personnes, à chacun sa propre histoire, sa personnalité et sa manière d'imaginer la vie. Quant à Camille, il était posé sur l'un des bancs, une pomme verte à la main, la jambe repliée sur son genoux, attendant patiemment l'un de ses amis qui avait apparemment du retard. Pourquoi avait-il accepté de venir le chercher alors que son travail lui prenait chaque seconde de la pauvre vie qu'il tentait d'incarner ? Les nombreux taxis postés devant pouvaient très bien l'accompagner mais il avait insisté, pour des raisons obscures. Rapidement saoulé, il accepta, non sans ronchonner comme à son habitude, en profitant tout de même pour prendre une journée de congé et dormir jusqu'à une heure presque inconvenable. Perdu dans l'observation des gens qu'il observait, amusé par la multitude de crétins qui l'entourait, son regard s'accrocha soudainement à un fantôme de son passé, qui remontait maintenant à quelques mois. Noémie. Ou Noélie. L'un des deux. Leur dernière conversation lui remonta en mémoire, une discussion houleuse où ses mots, choisis avec choix, avaient été d'une dureté incroyable. D'une méchanceté imméritée. Pourtant, il ne s'en voulait pas. La vérité derrière ses mots déguisés devait être dite. Il aurait pu y mettre les formes, s'adoucir un peu, mais ce n'était pas une bonne journée et elle en avait fait les frais. Il grimaça en se rappelant l'un des messages, se rendant bien compte à quel point il s'était montré vulgaire. Maintenant, va vider un autre gars, question de respecter ta nature. Dans ces conditions, ils ne s'étaient évidemment plus vus. Malgré le contexte, un sourire naquit sur son visage satanique, décidant de se lever pour rejoindre la demoiselle perdue depuis trop d'année. Avançant vers elle il se demanda si sa prédiction s'était réalisée, à quel point il l'avait impactée. Etait-il dans ses pensées lorsqu'elle ne se respectait pas ? Au plus profond de lui-même, il l'espérait. Qu'importe les raisons. C'était une forme d'altruisme, de l'aider à s'élever, non ? Dans le déni total, il se posa à ses côtés, attendant patiemment qu'elle le remarque, allant jusqu'à être légèrement excité face à sa beauté, malgré les heures de vol. Elle revenait sûrement du Summer Camp, comme tant d'autres étudiants. Dans l'ignorance de sa présence, les phalanges de la jeune femme se posèrent sur les siennes. Non, je ne suis pas une valise. Il en profita pour refermer leurs doigts pour les replier les uns sur les autres. Son regard n'exprima rien de bon mais il afficha un sourire, amusé par ce rendez-vous imprévu qui pourrait potentiellement se terminer dans les toilettes de l'aéroport. C'est mignon de me tenir ainsi la main. Il ricana légèrement, continua sur sa lancée. Tu es magnifiquement bronzée. Les vacances se sont bien passées ? Oui, il fit comme s'il n'avait jamais agit comme le plus gros des enfoirés, déviant leurs retrouvailles dans une discussion des plus banales.
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postMar 6 Sep - 18:30
    taggercitereditionsupprimeradresse
    Tw: langage grossiertu les sens très distinctement les battements de ton coeur, s'accélérer sous le contact de sa peau sur la tienne et de ce regard posé sur toi. Pour la première fois face à Camille, ce n'est pas un sourire sur tes lèvres qui domine ton visage fatigué. Non, cette fois tu jette en sa direction un regards peu commun te concernant ; mélange de dégout, de tristesse et surtout de colère. Il y a longtemps que tu refoule tout ce mélange de ressentiment envers le résident en chirurgie. T'avais même rêver de pouvoir lui balancer à la figure tout ce que tu avais sur le coeur, pouvoir vider ton sac, abandonnant l'idée très rapidement néanmoins préférant ne plus le croiser du tout. Tu retire ta main vivement, luttant contre son emprise, un peu paniqué de devoir lui faire face ici et maintenant. Consciente néanmoins qu'il vaux mieux que vos "retrouvailles" se fassent en public. "- Ne me touche pas" que tu finis par dire, la mâchoire serrée, comme pour te retenir de crier, ou pire, de pleurer. T'essaie de reprendre une certaine dignité et attrape ta valise d'une main avant dete positionné devant lui pour continuer ton chemin. Tu sens la frustration montée en toi, la douleur de t'être laissé affectée par ses paroles, la constatation que tu n'est pas si forte que tu le laisse penser mais tu ne lui laissera pas le loisir de voir les larmes coulées sur tes joues à cause de lui. Alors que tu t'apprêtes à le dépasser, ignorant sa réflexion sur ton bronzage et tes vacances (comme de par hasard), tu sais que ta seule chance de soulager ta conscience et de sortir ça de ta tête est entrain de te filer entre les doigts. alors t'inspire un bon coup, et sans un seul regards pour le monde se trouvant autour tu balances ta main encore libre sur sa joue, le giflant avec une force que tu ne soupçonnais même pas. A l'image de ta colère envers lui et son comportement. Pour sur, il la sentira passé et lui laissera une trace. "- T'avais aucuns droit de me traiter comme la dernière des merdes. Pas plus que tu peux revenir comme si il ne s'était rien passé. T'entends ?! T'es personnes, Camille ! Personne ! C'est quoi ton problème bordel" tu te rend à peine compte que tu cris presque sur lui, ton visage furieux face à son regards inexpressif, vide. Tu t'en moque bien de faire scandale, tu sens la bête se déchainer en toi et t'as bien envie de vider ton sac.

    @Camille Harrington
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postMer 21 Sep - 22:25
    taggercitereditionsupprimeradresse
    Le ténèbre de ses yeux fixait la main de la jeune femme qui venait à l'instant de la retirer, d'une manière vive et sèche qu'il ne lui connaissait pas. Ses pupilles remontèrent vers les siennes, pénétrant de son obscurité ce qu'il lui restait de contenance. A juste raison, elle semblait à deux doigts d'imploser au milieu des valises. L'incompréhension s'était transformée au fil des mois en une rage glacée et le moment fut apparemment le bon pour la lui exprimer. On ne peut plus légitime. Lorsqu'on décide d'agir avec cruauté, il ne faut pas s'attendre à être inondé d'amour au retour. Quelques mots furent libérés de la bouche de Noélie alors qu'ils semblaient avoir du mal à sortir, cadenassés par sa mâchoire serrée. A cet instant, il se saisit légèrement, bousculé par cette idée émergente, celle de ne pas avoir agi correctement. D'avoir été trop loin. Un objectif qui semblait atteint, malgré le manque de forme. Elle ne méritait clairement pas de subir la violence de ses mots, simple miroir de ses entrailles. C'est alors qu'elle récupéra sa valise et se préparer à partir, ce qui fit hausser l'un de ses sourcils. La rancoeur dans son coeur devait s'exprimer. C'est alors que, contre toute attente, sa main bascula pour atterrir sur sa joue, provoquant un claquement sonore qui firent interrompre les discussion des voisins. Bouche entrouverte, il se fit violence pour ne pas palper la rougeur devenue visible, anesthésiant la douleur par un regard rempli de haine qu'il lui lança, pétrifié, n'ayant pas totalement conscientisé la scène. Quelques secondes de douleur mais une plénitude qui se lisait à cet instant dans son regard dénué de haine. Une forme de plaisir, non pour la douleur, mais pour cette pulsion créatrice, qui a besoin de souffrir pour vivre. Noé, déteste-moi et rappelle-moi à quel point je suis mauvais. La jeune femme prit à nouveau la parole gouvernée la colère, n'exprimant que vérité.. Un rictus passa sur son visage, aussi désarment que malsain. C'est là où tu te trompes. Tu étais mienne. Tu m'appartenais. Pause voulue, alors que leurs regards se chevauchèrent. Tu n'as toujours pas compris ? Tu t'es paumée tellement de fois que tu es incapable de savoir ce qui est bon pour toi. Toujours présente lorsqu'on t'appelle, même quand tu n'en as pas envie. Il fit un pas en avant, se moquant bien des personnes inconnues qui les entouraient, pour la fixer droit dans les yeux. Tellement peur d'être rejetée. Encore une fois. Utiliser sa capacité à cerner les blessures afin d'appuyer dessus. Son objectif n'était pourtant pas de lui faire mal mais d'actionner un bouton lui permettant d'y voir plus clair. Avec des mots branlants, aucun tact et une lueur de plaisir dans le regard, certes. Lui faire mal pour se faire mal, un cas d'étude, dont il n'avait en rien conscience. Puis, il fallait dire qu'il venait de se faire baffer. Putain, c'est qu'il avait encore mal.
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postJeu 20 Oct - 21:47
    taggercitereditionsupprimeradresse
    Consciente d'avoir agie sur un coup de colère, te laissant guider par de profons instincts de violences presque animal, tu as un léger mouvement de recul lorsque tu réalises avoir porter le premier coup. Ce n'est pas ton genre d'user de tes poings, encore moins lorsqu'on se souviens qu'un soir d'été il y a un peu plus de deux ans désormais ; ton coeur s'était presque arrêter de battre sous la douleur des coups qu'on t'as portés. A aucun moment tu n'as envisager que Camille pourrait à son tour lever la main sur toi - très ironique venant d'une ancienne femme battue- et pourtant désormais qu'il se rapproche de toi avec ses yeux plus sombres qu'une nuit d'hiver, tu commence à avoir de sérieux doutes. Ton coeur ne se calme pas et tu sens la panique s'immiscer peu à peu en toi. Echos douloureux d'un passé pas encore cicatrisait. Ton souffle s'accélère, tes oreilles bourdonnent. Tu as peur. De lui. De toi. Peur de tout ce qui ressort de vous deux dans cette relation. Autour de vous, tu observes des regards insistants, des hommes qui se demandent s'il est temps d'intervenir, des femmes, qui elles, préfèrent regarder ailleurs. Parce que c'est tellement plus simple de ne "pas voir". Au fond de toi, tu ne blâmes personnes ; toi même serait surement la première à ne rien faire si tu étais témoin de cette propre scène. "-Va te faire Camille. Fous moi la paix maintenant. T'es complétement malade" tu contrôle du mieux que tu peux les tremblements de ta voix, soumise à ce mélange plutôt déconcertant de sentiments. Il a raison, certainement. Mais il n'est personne pour te parler ainsi. "- Si je suis pathétique, tu l'es aussi. Faut avoir peu d'estime de soit pour être conscient d'utiliser une femme dans le seul but d'assouvir des pulsions ingérables. T'as peur de quoi ? Perdre le contrôle peut-être? que le monde entier se rende compte à quel point tu les trompes." Tu marque une pause, fixant son regard le plus intensément possible. Aucunement tu le laissera reprendre le dessus et voir qu'au fond il te terrorise. "- T'es qu'un paumé. Tu te déteste, alors c'est plus simple de porter ça sur les autres que de s'assumer. Sauf que tu ne convaincs personne." et tu te libère, sans penser aux conséquences. Sans savoir si lui aussi tu finiras par "le pousser à bout".

    @Camille Harrington
    InvitéInvité
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Anonymous
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postVen 4 Nov - 14:52
    taggercitereditionsupprimeradresse
    Perceptible émotion qui se creusait dans le regard de la jeune femme. La peur. Sentiment qui anesthésiait aussi bien le corporel que le mental. Son néopallium appelé vulgairement néocortex s'activait, prévenant d'un possible danger, communicant avec elle par le biais de cette émotion qui lui incitait de fuir. Ses mots l'avaient certes mise en colère mais ce sont ses pas en avant qui semblaient vraiment l'impacter dangereusement. Arquant un sourcil interrogateur, la vérité jaillit un instant plus tard, limpide comme l'eau de ce lac italien qu'il affectionnait tant. Elle savait que le docteur n'utiliserait jamais la violence physique contre elle mais il existait dans son passé des traces de violence qui ne semblaient pas cristallisés, comme des fragments d'anciennes blessures pas tout à fait guéries. Le puzzle du mystère surnommé Noé se reconstituait petit à petit alors qu'elle ne lui avait rien dit. Le docteur se stoppa net, ne souhaitant pas entrer dans cette brèche. Il n'en avait d'ailleurs aucun intérêt. Sa prise de conscience était ailleurs et pourtant liés aux traumatismes vécus par la jeune femme. Une vie de déluges pour un surnom adéquat. Va te faire Camille. Fous moi la paix maintenant. T'es complétement malade. Son manque d'assurance le fit doucement sourire, alors qu'elle réussit péniblement à sortir quelques mots qui furent nuancés par quelques tremblements presque charmants. Sa proie allait-elle se terrer dans un trou comme elle le faisait habituellement, fuyant la réalité ou plutôt sa réalité ? Elle reprit du poil de la bête et osa enfin l'affronter  directement. Un jeu auquel elle ne pouvait gagner, se sentant à cet instant galvanisé par l'intensité du moment. Si je suis pathétique, tu l'es aussi. Faut avoir peu d'estime de soit pour être conscient d'utiliser une femme dans le seul but d'assouvir des pulsions ingérables. T'as peur de quoi ? Perdre le contrôle peut-être? que le monde entier se rende compte à quel point tu les trompes. Le jeune médecin éclata d'un rire cynique, abasourdi par ce qu'il venait d'entendre. Il va falloir aller beaucoup plus loin si tu comptes me blesser. Son rire se prolongea un instant pour y mettre fin, ne voulant dévier de son plan initial. Sa prise de pouvoir semblait positive mais néanmoins insuffisante aux yeux du pédiatre. Réveille-toi Noé, appuie là où ça fait mal. Le regard de la jeune femme se fit plus dur, plus intense, plus sombre. Une façade qui cachait la petite fille effrayée qu'elle était. Elle continua sur cette voie, le stupéfiant le temps d'une seconde. Le regard fixe, les sourcils froncés, elle venait de toucher et il ne put s'empêcher d'être impacté, même s'il se reprit immédiatement. Ses attitudes étaient-elles si prévisibles ? Il n'avait pas cette impression. Au contraire, les gens ne se concentraient que sur le superficiel et cela lui allait complètement. Sauf que tu ne convaincs personne. Tu te détestes. Oui, elle avait raison. Son regard perdit de sa froideur, sa grandeur devenant friable. Il se reprit rapidement, son regard devenant aussi froid qu'à l'habitude. Mais l'homme était touché et il n'aimait pas ça. S'apprêtant à rétorquer violement, un homme d'une trentaine d'année apparut dans son sillage pur déposer une main sur l'épaule de Camille. Il le fixa d'un regard noir, détestant qu'on le touche sans qu'il ait donné son accord. Le regard du médecin s'amplifia de nuages sombres, prêt à le dégommer. Je te conseille de me lâcher si tu ne veux pas que je t'explose la gueule. Son corps resta braqué, ne supportant cette proximité physique. Il se fit violence pour ne pas exploser. Vous allez bien mad'moiselle ? Il vous ennuie ? Ses poings se fermèrent, prêt à passer à l'action. Ce qu'il ne pouvait faire, en tant que médecin. Pas de main, pas d'opération.
    Contenu sponsorisé
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    Informations
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas

    Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum