" Ouuh. Girl I got you so high, and I know you like. So come and push it on me, if it feels alright, when you drop it low, and break me off. No, she doesn't mind (aight). She doesn't mind (aight). She doesn't mind... "


Où donc commencer ? Mon nom est Rosalia Di Marzo, je suis née en Italie, à Vérone. J'ai eu une enfance plutôt heureuse et bien structurée. Mes parents ont toujours été présent pour moi, même si mon père était un homme d'affaire très pris, il trouvait toujours un moyen pour s'arranger avec ces confrères pour passer plus de temps avec moi. Ma mère m'a éduquée plutôt sévèrement. Son seule enfant unique, elle m'a toujours appris à ne faire confiance à personne d'autre que la famille. " Les gens hors de ta famille ne sont que des profiteurs ! ", m'avait-elle minutieusement confiée, enfant. " Pour ne pas te faire avoir, il te faudra être beaucoup plus maligne qu'eux, ma fille. " M'avait-elle suggérer dans un éternel clin d'oeil que je n'oublierais très certainement jamais. Et moi ? Comme une idiote, vous penserez, j'ai acquiesçais sans broncher une seule seconde. J'étais donc d'accord. D'accord par son régime, que je considérerais année après année comme autoritaire. De toute manière ? Je n'avais pas le choix. Quoiqu'il arrive, elle m'éduquera comme ça, que je le veuille ou non.




Lorsque j'ai déménager à Capri, j'ai rencontrée Valentin quelques années juste avant mon secondaire. Nous étions plutôt bien ensembles, même.. Un tout petit peu trop bien. Plutôt étrange, n'est-ce pas ? Je m'entendais parfaitement bien avec sa famille, en particulier avec sa petite soeur. Sa famille avait quasiment adopter la mienne, c'était un peu comme si nous vivons tous et toutes dans une famille recomposer. Le problème ? A l'époque, j'étais encore en pleine crise de puberté ou bien... Va savoir ! J'étais très attirée par une femme, une femme que j'apercevais tous les jours le matin lorsqu'elle s'asseyait en terrasse pour prendre son petit café. Vous l'avez bien compris, c'était une femme mûre et légèrement âgée. Moi ? Je n'étais qu'une " enfant " à l'époque. Ce fut au bout de trois ans que j'ai quittée Valentin sans lui donner le moindre explication et vous savez quoi en plus de cela... ? Ce fut sans regret. Enfin, ça c'est ce que j'ai fais croire à toutes sa famille y compris la mienne, par mon grand jeu et très bon d'ailleurs d'actrice. Ma famille étant de pur italien et donc des homophobes, je ne pouvais certainement pas passer pour la risée de la tribut Di Marzo. Enrique était au courant, bien entendu, mais ça... C'était Enrique, mon cousin le plus proche. Il était comme mon journal intime humain et je savais qu'il serait le seul et unique homme et membre de la famille à ne pas me juger. Passons... En réalité, Valentin m'avait appelée un jour... Lorsque je m'y attendais le moins et j'ai décrocher son appel sans même regarder à qui je m'adressais. Pensant pertinemment que ce fut " l'élue de mon coeur " , j'avais déballer tous que je ressentais à cet instant pour elle malgré que que je n'aie jamais pu approcher la jeune femme dont je désirais plus que tous, celle-ci s'étant mariée avec une jeune bourgeois, un nouveau riche très certainement, partie pour Venise, qui, je vous le rappelle est l'une des villes la plus romantique de l'Europe.


Depuis ma plus tendre enfance, je suis proche de mon cousin, auquel on a fait les quatre cent coups jusqu'à maintenant. Je l'ai toujours considérer comme le frère que je n'aie jamais eut. Ses parents étant très pris par le travail, Enrique a dut vivre chez nous. Nous étions inséparables, d'ailleurs, nous le sommes toujours. Aucun être au monde à réussi à nous monter l'un contre l'autre, s'était un peu comme si on se lisait mutuellement dans les pensés. Enrique a bien entendu fait la connaissance de Valentin et de sa petite soeur, maintenant que j'y pense... Il n'a jamais vraiment apprécié Valentin. Pour lui, il " m'appropriait " beaucoup trop à son goût et donc, ne pouvait guère à son tour passer du temps avec moi. Si je devais personnellement compter le nombre de fois, où il m'a demander de quitter Valentin, durant ces trois années... Je peux vous assurer que je m'y perdrais dans mes propres chiffres. Avec tous ça, il n'a jamais eut un quelconque relation avec une femme, le pauvre étant beaucoup trop timide avec elles. Et ma bonne action cette année serait de lui trouver une potable et bien entendu : italienne !