le temps des fêtes approchait à grand pas, ce qui enchantait narcissa. elle aimait fêter noël et le jour de l'an, comme la plupart des gens. la demoiselle avait surtout hâte de retourner à los angeles pour passer du temps avec les membres de sa famille et revoir ses amis. la demoiselle devait acheter des cadeaux pour tous ses proches. elle avait déjà acheté les cadeaux pour ses parents, ainsi que ses grands-parents. il lui restait le cadeau pour katalia, une très bonne amie, ainsi qu'un présent pour fleur, sa meilleure amie. la jeune femme aimait faire plaisir aux gens qu'elle aimait. de plus, elle avait les moyens pour offrir des belles choses. elle se prépara pour la séance de magasinage. une fois prête, elle quitta son appartement luxueux et se rendit au centre-ville. il y avait plus de boutiques dans le centre-ville qu'ailleurs. narcissa aura donc l'embarras du choix pour choisir ce qui allait plaire à ses proches. narci espérait surtout que les cadeaux allaient plaire aux gens qu'elle aimait. narci n'offrait jamais des mauvais cadeaux, donc elle n'avait pas à s'inquiéter, mais l'était quand même. ça faisait parti d'elle. pour son amie katalia, elle avait décidé de lui offrir un collier. un bijou était toujours un bon cadeau. elle entra alors dans une boutique de bijoux. elle y allait très souvent, donc les employés la connaissait. ce fut à ce moment-là que quelqu'un la bouscula ou ce fut elle qui bouscula la personne, mais narcissa s'en fichait. « faites attention! vous auriez pu me blesser. » toujours dans l'excès, mais narci était comme ça.

HJ:

narcissa n'aimait pas du tout quand les gens la bousculaient. ils ne savaient clairement pas qui ils venaient de bousculer, comme si narci était une personne importante. après tout, elle n'était pas une princesse ou la fille d'un sénateur ou de quiconque, mais la belle brune était riche et, pour elle, ça voulait tout dire. elle était également légèrement dramaqueen, mais elle l'assumait et ne le cachait même pas. ses proches savaient comment elle pouvait être, mais elle était aussi sensible et adorable, quand elle en avait envie, mais elle l'était surtout avec ceux qu'elle aimait. ils n'étaient pas nombreux, donc peu de personnes connaissaient ses bons côtés. narci se fit alors bousculer par un jeune homme qui ne semblait pas avoir sa place dans cette boutique. narcissa pouvait rapidement le remarquer. elle avait ce don pour remarquer les gens riches et ceux qui ne l'étaient pas. il lui dit alors qu'il ne l'avait pas entendu arriver. « vous plaisantez? je porte des talons hauts et, forcément, ça fait du bruit. » narci ne le connaissait pas, alors elle le prenait vraiment pour quelqu'un d'étrange. n'importe qui pouvait l'entendre avec ses bottes. d'ailleurs, ses bottes lui ont coûté une petite fortune, mais elle les aimait plus que tout. « je vais très bien et ne me touchez pas. » elle était capable de prendre soin d'elle-même, sans que quelqu'un lui vienne en aide. narci était rapidement devenue indépendante.

narcissa était souvent insensible face aux excuses des gens. dans le fond, la jeune femme savait qu'il n'avait pas fait exprès et que les bousculades pouvaient arriver à tout le monde. toutefois, narci ne pouvait pas s'en empêcher de montrer les griffes et d'être furieuse envers cet inconnu. il avait un peu gâché sa journée. elle était supposée être heureuse toute la journée. après tout, elle faisait les boutiques. dans un centre commercial, narci était dans son élément. elle avait toujours de l'argent pour dépenser et acheter des belles choses. l'argent n'a jamais été un problème pour elle et ne le sera sans doute jamais. une boutique de bijoux la ravissait toujours, mais sa joie était disparue avec ce léger accident. heureusement, elle n'a pas été blessé. si ça l'avait été le cas, son comportement serait différent. le jeune homme essaya de se faire pardonner en disant que le son de ses talons ne ressemblent pas à des mots. narcissa ne comprenait pas ce qu'il voulait dire par là. « je sais bien que ce ne sont pas des mots, mais je suis surprise que vous n'ayez pas entendu. » narcissa était de nature intelligente, mais, à cet instant, elle ne comprenait pas du tout. « vous êtes chanceux, je ne me suis pas levée du pied gauche. ça l'aurait été pire, croyez-moi. je veux bien un latte, mais il a intérêt à être excellent. » quand il s'agissait de boissons chaude, narcissa pouvait être exigeante. elle exigeait toujours le meilleur. si le café était mauvais, elle n'était pas heureuse et sa journée était pourrie. « c'est où? je n'ai pas toute la journée. »