Mon nom complet est Wolfie May Dawson, né le 20 Mai 1997 à l’hôpital Sainte-Justine de Montréal à 11 :11 du matin. Mon prénom veut dire petit loup qui est l’animal préféré de ma mère, car elle du sang amérindien qui coule dans ses veines. Ma mère est originaire du Vermont et a grandi sur la réserve de Waban-Aki qui fais partie de la communauté Algonquienne qui enferme aussi certaines réserves indiennes tout près de la frontière. Pour ce qui est de mon père, il est purement québécois. Ceci fait de moi une canado-américaine au sang indien, canadien et américain. ≈ J’ai très peu habité au Canada durant ma jeunesse et mon adolescence. Mes parents désiraient une future beaucoup plus structurée pour moi et ma mère avait fait appel aux esprits pour en savoir un peu plus sur ce qui m’attendais si je serai resté au Canada. Mes parents avaient gardé tout ça secret, car ils ne désiraient pas contredire mon avenir. ≈ Tout comme ma mère, je suis une personne très spirituelle. J’en connais autant sur mes origines qu’elle, car j’ai une curiosité plus grande que nature et parfois, elle se demande si elle a fait le bon choix de me garder près d’elle. Évidemment, j’ai réalisé ce que mes parents avaient l’intention de faire lorsque j’avais reçu mes papiers pour l’université Harvard. Je n’étais pas d’accord au début, mais je savais que l’université Harvard était un rêve d’adolescente que je désirais réaliser depuis très longtemps. ≈ Il n’y avait que moi et ma meilleure amie Skye qui avait été accepté à l’université Harvard. C’était une nouvelle qui avait passé un peu partout dans les médias que deux amérindiennes d’origine américaine et canadienne avait été accepté dans l’une des plus grandes universités du monde. Je ne cacherais pas que j’ai eu peur pour moi-même et pour Skye d’être victime d’intimidation et d’être victime de racisme, mais par ma grande surprise, nous avions été célébrés dans une grande fête avant notre départ pour Boston. ≈ La science m’a toujours fasciné. Mon père est médecin dans un des plus grands hôpitaux de Montréal. Lorsque j’avais la chance, je suivais mon père au travail et ma curiosité le rendais inquiet et nerveux, car les infirmières et les préposées aux bénéficiaires courrai après moi dans l’hôpital pour me rattraper. Je n’avais pas compris que mes actions m’étaient l’emploi de mon père en péril, mais je n’avais pas le choix de souffrir un peu lorsque mes parents me chicanaient et me disaient que je ne pouvais plus accompagner mon père à son travail. ≈ Mon père voulait faire sûr que je sois bien entourée pour mes études et aussi désirais la même pour ma meilleure amie pour que l’on puisse bien réussir nos études en médecine et celui-ci a fait l’impensable en achetant une maison tous près du campus pour que l’on puisse y habiter comme bon nous semble. J’ai toujours désiré avoir une maison simplement pour moi et même avec ma meilleure amie, c’est notre petit nid pour nos études et éventuellement, cette maison va m’appartenir. ≈ J’ai un grand amour pour les chiens. Chez moi au Vermont, nous avons une grande famille de Husky Sibérien et ici, j’ai la chance d’avoir ma petite famille de Malamute d’Alaska. Ma femelle Inuk attend avec patiente l’arrivé de ses chiots qui sont due vers le mois de Février. Pour ma part, je suis très impatiente de les voir. ≈ Cuisiner fais partie d’une de mes passions que j’aime pratiquer. Je dois remercier ma mère, mes tantes et mes grands-mères de m’avoir transmis cette passion. ≈ On m’a souvent dit que j’étais un peu trop maquillé et un peu trop arrangé pour le choix d’étude que j’ai pris. Honnêtement, je m’en fou de ce que les gens pensent de moi. Mes décisions et mon future est entre mes mains maintenant, donc je peux faire ce que je veux avec ma personne dans le bon sens bien évidement et j’ai un penchant pour la créativité, donc si je désire me maquiller, je vais le faire.