•Ada est l’unique fille des Parry. Elle possède deux frères, l’un plus âgé qu’elle et l’autre plus jeune. Encore à Liverpool, Ada ne voit sa famille que pour les grandes occasions comme les fêtes de fin d’année ou certaines vacances scolaires.

• Petite, elle a suivi des cours de danse et de piano, mais la rigueur demandée ne correspondait pas à ses désirs d’évasion. Son amour pour ces deux éléments lui vient de ses parents qui, tout comme elle, ne peuvent passer un jour sans écouter de musique. Pour les Parry, la musique est un art qui rapproche et qui se partage. Même séparés par un océan, ils continuent de s’envoyer des recommandations musicales et d’échanger leurs avis sur les dernières sorties.

• Les Parry sont une famille soudée. Chaque membre peut compter sur les autres et les disputes – parce qu’il y en a toujours – sont rares. Le coming out d’Ada n’a en rien brisée cette harmonie familiale. Si au début, certains eurent du mal à accueillir la nouvelle, l’homosexualité d’Ada est aujourd’hui un sujet accepté de tous.

• Ada est la deuxième personne de sa famille à suivre des cours à Harvard. Des années avant elle, sa mère a décroché un master en psychologie dans la prestigieuse université américaine.

• Ada est lesbienne et s’assume pleinement comme telle. Elle a découvert son homosexualité lors de sa première année à Harvard et depuis, elle ne s’épanouit qu’au travers d’ébats féminins. La compagnie des hommes ne lui manque pas, bien au contraire !

• Elle adore ses cheveux et passe un temps fou à les entretenir, à les arranger et à les coiffer. Elle en est extrêmement fière et déteste qu’on les touche sans son autorisation. Rares sont les personnes ayant pu toucher la crinière d’Ada.

• Si Ada fait des études de journalisme, c’est parce qu’elle aime avant tout écrire. Elle s’est déjà essayée à l’écriture d’œuvres de fiction mais la flemme de la jeune femme la empêché à de nombreuses fois de venir à bout de ses projets.

• Bien que ses parents soient aisés, Ada fait tout pour se débrouiller par elle-même. Depuis son arrivée à Boston, elle a enchaîné une dizaine de petits boulots pour pouvoir payer son loyer. Elle sait qu’en cas de réel problème, elle pourra compter sur ses parents mais pourtant, la jeune femme tient à cette indépendance. Cela lui donne l’impression de mériter la vie qu’elle a.