JAMIE BULGER ► jodie comer

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JAMIE 'BOWIE' BULGER

— (( tw violence / viol )) Bulger, princesse Bulger, promue à reine Bulger fut un temps aux côtés de son frère; à l'ère du Winter Hill Gang. Rien que son nom de famille lui procure un rang significatif dans la délinquance bostonienne. Plongés dès leur plus jeune âge dans les affaires malfamées de leur père, Jamie et Devon ont acquis tôt l'essence même du Mal, développant une fascination malsaine pour le crime tandis que les autres marmots de leur âge étreignaient jeux et plaisirs innocents. Jamie, en particulier, adopta plus intensément les moeurs familiaux. Jamie, elle plongea même, très tôt, tête la première, dans la violence et la menace dès l'instant où elle sut habilement user de ses armes et de ses neurones pour dominer. L'évidence même que les jumeaux reprennent les rênes du gang était indiscutable, ils avaient été formés pour et ne déçurent pas lorsque le moment arriva. Dans les premiers temps. Puis très vite, les contrôles leur glissèrent d'entre les mains, Jamie elle s'enragea, elle cumula, sa noirceur s'étala, elle n'était plus que l'ombre d'elle-même et de sa vengeance si rêvée. Gang démantelé, Jamie, elle a connu l'humiliation ultime, plaquée face au sol, devant ses satanées d'ennemis, sang coulant à flots dans sa zone inférieure, bleutées sur les cuisses; la reine déjà déchue venait d'être mis encore plus bas que Terre. Mais bien qu'elle sentit son âme se dérober devant ses yeux, Jamie elle n'a jamais abandonné. Vindicative, élevée dans la dureté et l'insensibilité, Jamie sait à qui elle appartient, qui elle est, ce qu'elle adviendra. Winter Hill Gang ou non, Jamie est une Bulger, revenue d'entre les morts un an après, plus forte et sanguinaire qu'auparavant : elle appartient à ce groupe, au Diable, aux côtés de ceux qui ont, à son image, vendu leur âme.

winter hill gang area

Ambitieuse, calculatrice fourbe, maligne fut l’essence même de celle qui autrefois brillait par son règne. Impossible de prédominer sur un univers aussi impitoyable dominé par les hommes, si on ne l’est pas soi-même. Auparavant proclamée co-leader du Winter Hill Gang, Jamie (ou anciennement Bowie) est la définition de la manipulation, rusée aux ambitions effrénés qui découlent de son instinct de requin. La soif du succès, dominer, se faire respecter, trois notions distinctement adopté afin de mener à bien ses combats.

after the storm

Voile permanent, fragilité dissimulée, refoulée, Jamie ne vit que de faux-semblant. Refus d’admettre leur défaite, sa défaite, leur tragédie; éreintée, vidée, elle ne se meut que par automatisme depuis l’an passée. Elle se noie dans le travail, les missions, le mensonge, le champ de bataille, ignore son fort intérieur qui crie de détresse. Vraie combattante antipathique, l’état émotionnel n’est que secondaire, elle passe outre, sourit, vicieusement, provocante, rit, laisse échapper son ironie, son cynisme entre deux verres de rouge. Elle ne vous laissera qu'apercevoir la Jamie sociable, heureuse, dynamique - que des mensonges. Au fond, l’être calculateur qu’elle était n’avait pas totalement été effacé; toujours dans l’ombre, à l’affut, ce masque lui prodiguait un contrôle sur elle-même dont elle refuse éperdument de perdre. Ironiquement, dans sa mascarade, elle y avait trouvé une paix inattendue Jamie. Apaisée. Avec elle-même, son faux elle-même. L’être fourbe, calculateur résonnait dans sa paix factice, elle s’aidait de ce personnage pour avancer, survivre demain. Avec son alter-ego, elle savait qu’elle survivrait, ne craignait rien, n'avait aucune peur. L’effet de bombe faisait même qu’elle marque les esprits Jamie, quand elle passe sur votre chemin, elle est inoubliable au-delà de simplement survivre. La souffrance engendrée par cette nuit, il y a un an, les conséquences qui en ont suivi, sa fuite, lui ont apporté une tout autre confiance : rien ne pourrait la tuer davantage Jamie, déjà meurtrie comme elle est. Rien ne pourrait l’arrêter, lui créer d’appréhensions. Reine Jamie déchue, princesse Jamie égarée, mais commandant Jamie vivait à haute et intelligible voix.

pseudo shelbies
âge 24
nationalité France
forum connu par... top-sites
ILH, j'en pense quoi ? on y fait son nid
autres comptes ? @Miles Hohenstaufen
avatar utilisé Jodie Comer
crédits images loudsilence (av), tumblr (icons)
nombre de mots par rp souvent un pavé malgré moi askip
type personnage inventé

summer camp
je souhaite participer au summer camp ; [] oui [x] non
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Un jour, une histoire

april 2018

« Hey Pat, comment tu vas aujourd’hui mon grand ? » Sourire en coin, faussement mielleux, sorti de contexte, on pouvait se méprendre avec des retrouvailles entre deux bons vieux amis, alliés. Et c’en était le cas, en partie. Si ce n’était la présence imposante des hommes de mains à ses côtés, dans cette pièce sans fenêtres, sans lumière et que ce bon vieux ami était ligoté de la tête aux pieds à la seule chaise présente. « Oui, je suis d’accord avec toi, y’a mieux comme accueil.. » Joueuse, cynique, Bowie s’avança vers son invité du jour, se penchant en avant, toujours ce sourire en coin collé aux coins des lèvres. Seules ses prunelles trahissaient son état d’âme; ces prunelles qui pétillaient de rage, de fureur. A contrario, le regard de Pat, lui, brillait de crainte. Animé par l’instinct de survie, il lâcha quelques petits gémissements, laissa percevoir quelques gouttes de sueur dû à la peur s’écouler. Les coins de lèvres de Bowie s’élargirent davantage. « Dis-moi buddy, est-ce que j’ai besoin de t’expliquer la raison de notre petite.. réunion ? » Même son ton trop paisible ne reflétait pas le courroux qui l’animait, le bouillonnement qui la prenait aux tripes. Pour ne pas en rajouter, le Pat s’agita de plus en plus au lieu de rentrer dans cette agréable conversation qu’ils menaient tous deux. Ok, le bandage qui entourait sa bouche l’empêchait sans doute de sortir d’autres bruits plus compréhensibles que ses minables gémissements mais il pouvait toujours acquiescer ou nier d’un geste de la tête, non ? Allez Pat, fais plaisir à ta chère Bowie, sois clément et elle sera. Peut-être. « Oui ? Non ? Tu donnes ta langue au chat ? » Elle poussait le jeu, inclina la tête avant d’afficher une moue faussement déçue. « Okaaay, je t’aide un peu… tu te souviens quand ma petite soeur t’a vu avec ce beau monsieur il y a deux semaines ? Comment tu l’appelles déjà ? Hm.. Carter ? Agent Carter du FBI, c’est ça ? » Comédie, comédie. Bowie était une vraie dramaturge, aimait ajouter une pointe théâtrale quand l’occasion lui était présentée. « Puis après, la semaine dernière, mon frère t’a rendu une jolie visite de courtoisie pour un premier avertissement, si je me souviens bien ? T’en as gardé de petites cicatrices d’ailleurs, Gotham n’a pas été très clément, non ? » Une entaille encore assez fraîche traversait en effet le visage de Pat, entaille sur laquelle Bowie attarda son regard, fière de son frérot chéri. Quoi qu’elle exigeait de ce dernier, il accomplissait toujours son travail comme il le devait. Tout comme sa petite soeur d’ailleurs. Faut croire que les membres de la famille, de sa famille, étaient les seuls dignes de confiance et de fidélité. Elle ne pouvait pas clairement en dire de son ‘ami’ devant lui, dont la respiration s’accélérait, encore plus effrayé. Cette frayeur qui nourrissait et motivait Bowie, mais qui alimentait aussi sa rage, étant signe d’aveux. Elle en perdit son sourire le Bowie, son visage s’assombrit et se durcit en moins de temps qu’il ne fallait. « Dis-moi Pat, c’est mon frère qui n’a pas été assez clair avec toi ou t’es juste l’incarnation de la stupidité ? » Un haussement d’épaules loin d’être nonchalant, la mâchoire serrée, Bowie cracha presque sa question au visage du papa de famille, de son ex allié, du traître. Ses gémissements se firent plus insistants, il se débattit avec force au point d’en bouger les pieds de la chaise, et Bowie leva les yeux au ciel, ahurie par tant de bêtises. « Merci de répondre enfin à une de mes questions, j’apprécie Pat ! » La stupidité donc. Un dernier regard sur lui puis Bowie lui cracha littéralement au visage avant de se relever, faire deux pas en arrière. Et en un claquement de doigts, les deux autres hommes présents dans la pièce s’avancèrent à sa place, englobèrent Pat qui ne sera plus d’ici une trentaine de minutes - vingt s’il continuait avec ses gémissements pénibles. Bowie se retira tout aussi tôt de la pièce, plus bouillonnante qu’à son entrée dans la pièce. La trahison n’était pas une chose qu’elle prenait à la légère. Lorsqu’on intégrait ce gang, la fidélité et la dévotion étaient de mises, et les conséquences des incapables n’avaient jamais été dissimulés. Si les idiots de service persistaient à croire qu’ils pourraient dissoudre son gang, sa famille aussi futilement, ils méritaient leur sort, le monde était déjà assez peuplé d’abrutis, Bowie se ferait un plaisir de s’en débarrasser.

JUILLET 2020
Devon, Izzy, Connor
Une lettre qui ne vous parviendra jamais mais qui me soulage. L’égoïsme par excellence, je pense à moi-même avant les autres, avant vous. Ne me détestez pas, ça alternerait votre niveau de colère contre moi. Et j’ai besoin que vous le soyez, en colère. Enragé. La colère est plus facilement contrôlable que la rancoeur; je saurai gérer votre fureur, pas votre haine.
Je reviens.
Sur Boston.
Dans deux semaines.
Avec du renfort. Baxter et sa bande.
J’ai besoin que vous ne me détestiez pas, parce que je vous détesterai en retour et j’veux pas. Un an, c’est long, je sais. Croyez-moi, je sais. Peut-être que j’suis morte dans votre tête, peut-être que j’le suis pas. Je sais juste que vous ne m’avez pas oublié - quoi que tu dises Devon, je sais que j’suis toujours quelque part dans ta tête. Vous l’êtes en tout cas, dans la mienne. Même quand j’veux pas. J’entends de nos alliés vos déboires mais aussi vos exploits, j’entends vos désillusions et vos moments de vie. Même quand j’veux pas. Parce que j’vais être honnête avec vous, j’avais aucune intention de revenir. L’effet mystère c’est beaucoup plus marquant pour disparaître, j’laissais une trace fantôme dans vos souvenirs, un questionnement sans fin et ça me plaisait. D’savoir que vous n’alliez jamais m’oublier. Que vous alliez toujours vous questionner sur moi. J’avais toujours aimé être au centre de l’attention, fais pas le choqué Devon. Jusqu’à récemment. J’ai appris à m’effacer, doucement et c’est vachement cool. De faire semblant.
J’avais jamais vraiment envisagé ce retour.
Puis j’ai encore entendu vos derniers exploits, à Boston.
J’savais que vous aviez besoin de mon aide.
Et je commence sérieusement à m’emmerder ici.
Les missions sont toujours les mêmes; même si j’ai progressé, je me salis les mains maintenant, c’est très vite lassant. Comment tu fais Dev ? C’est quoi ton secret ? Il me faudra deux ou trois tips s’il te plaît sur la mise en scène, j’ai besoin d’un truc excitant. J’ai besoin de vivre à l’extérieur. J’ai besoin de leçons sur une vengeance.
Cette lettre ne vous parviendra jamais mais je l’écris quand même parce que j’ai que ça à perdre, du temps. J’m’imagine vos têtes quand je débarquerai, ça me fait encore plus perdre du temps.
Ne me détestez pas. Frappez-moi.
Jamie

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GBVFIEHVBOFNQOEVOEIK

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djfjdjjfjfjfjfj

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welcome back sis.

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Re-Bienvenue JAMIE BULGER ► jodie comer 3850463188

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TROP HEUREUSE, RE-BIENVENUUUUUUUE AVEC LA PLUS BELLE :heaart:

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salut bb, t'es belle

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Re-bienvenuuuuuuuue niania

c'est bon on va tous mourir avec un bulger de plus

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Que quoi ?! JAMIE BULGER ► jodie comer 1f440

Quécécébiencéquéjekroi?

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