caractèreComment me décrire niveau caractère, je dirais que je suis une jeune femme de mon temps. Je suis une demoiselle assez sérieuse en ce qui concerne les études et mon métier, je suis aussi une demoiselle professionnelle. On peut dire que je suis une demoiselle capricieuse parce que je suis la petite princesse de mon père. Je suis assez discrète sur ma vie privée, je suis libre comme l'air comme ça je n'ai de comptes à rendre à personne. On peut dire que je suis une demoiselle « grande gueule », je dis toujours ce que les autres pensent tout bas. Je suis aussi une demoiselle qui sait garder des secrets, je suis aussi très complice avec ma mère. Je pense qu’on se ressemble beaucoup elle et moi. Je suis aussi une demoiselle qui s’est joué de son charme pour obtenir certaines choses. Je suis fidèle en amitié, en amour et fidèle à ma famille, je suis aussi très proche de mon petit papa, même si on se chamaille tout le temps. Je suis aussi une demoiselle assez fofolle c’est comme ça depuis que je suis toute petite. Je ne trahirais ma famille pour rien au moment.

depuis combien de temps vis-tu ici ?Dites-nous depuis combien de temps votre personnage est présent dans la ville de Boston/Cambridge. Si c'est un choix ? Une contrainte ? Ce qui l'a poussé à venir ? A rester ?

comment te vois tu dans 10 ans ?L'avenir, on y songe tous. Alors quels sont les envies, les buts, les rêves de ton personnage. Du point de vue de ton personnage, de quoi sera fait son futur dans 10 ans. Sera t-il toujours citoyen de Boston ou Cambridge ? Aura t-il changer de métier ? Une vie de famille bien remplie ? C'est le moment de se projeter.

story of my lifeJe suis née le 1er avril 1984 à Boston d’un père avocat de droit pénal et des affaires (mais qui est aussi un avocat véreux) et d’une mère qui n’a jamais travaillé pour s’occuper pleinement de moi. Mes parents se sont aimés jusqu’à la mort de ma mère quand j’avais deux ans. J’ai peu de souvenirs d’elle, mais je ne connais pas les réelles circonstances de sa mort. Je n’ai jamais manqué de rien bien au contraire mon père m’a toujours choyé pour que je ne manque de rien pendant mon enfance. Mais la chose qui m’a le plus manqué c’est l’amour d’une mère. Mon père ne sait jamais remarier parce qu’il voyait ma mère en moi. Il a eu des compagnes de vie, mais elles ne m’ont jamais vraiment accepté à cause de ça. Il y a juste eu ma nurse Karen qui a été comme une mère pour moi, mais mon père n’a pas accepté que je puisse l’appeler « maman ». Elle est partie quand j’avais douze ans, parce que mon père et sa nouvelle compagne. Il a décidé de me mettre dans un pensionnat de San Diego en pensant que j’allais commencer à m’assagir, mais cela était qu’un leurre, en fait il pouvait faire ses magouilles en toute tranquillité je revenais tous les week-ends, mais je n’ai pas souvent avec lui. Quand vous avions des moments de complicité c’était pour qu’il me gâte pour combler son absence. Il m’achetait toujours les vêtements, les gadgets à la mode pour montrer que j’étais toujours sa petite fille chérie.

Quand j’ai eu seize ans comme toutes les filles de mon âge j’ai commencé à sortir. Et pendant une soirée entre filles, un homme m’a abordé pour me demander si je voulais faire du mannequinat. Ce qui était à l’époque mon rêve, j’ai accepté de venir pour un essai. C’est de là que ma carrière a commencé. Mon père n’était pas tellement d’accord, mais comme je suis une petite fille capricieuse, il a accepté. Mais il a voulu s’occuper de ma carrière et de mes contrats, j’ai accepté. J’ai connu ma première expérience avec un homme j’avais 17 ans, c’était un photographe pour qui j’ai posé. Il avait la trentaine, je savais que c’était juste l’histoire d’une nuit. Je n’ai pas encore connu l’amour, je compte prendre mon temps. Puis deux ans plus tard, j’ai fait ma première expérience avec une femme. C’est à partir de ce jour, que j’ai pu dire que j’avais une attirance pour les hommes et les femmes. Mais les hommes ont quand même ma préférence, j’adore les pectoraux et les muscles virils d’un homme. J’ai commencé aussi à cause de mon boulot, les paradis artificiels qui m’empêchent de trop penser à la vie que j’ai eue jusqu’à maintenant. Je me sens tellement mieux je peux tout oublier, mon père n’est pas au courant de mes addictions : sexe, drogue et alcool. Ce mélange que toutes les personnes que du commun des mortels ignorent. Je suis une demoiselle qui adore passer du temps entre les membres du quota et des bad-boy. Tout ça fait de moi une jeune femme de 25 ans heureuse de vivre, même si par moment les tabloïds parlent de mes addictions, je reste la tête haute. Mon père a essayé de faire me mettre en centre de désintoxication. Je ne veux pas encore « retomber sur terre ». Je veux profiter de la vie à 1000 % quitte à la brûler par les deux bouts.