caractèreConcernant mon caractère, il est très différent des autres étudiants de Harvard. En effet, je suis très ouvert d’esprit, à l’écoute des personnes, protecteurs et j’en passe. Cependant, vous ne me verrez jamais près des confréries de l’université, parce que ça me met mal à l’aise de voir quand des jeunes de mon âge se font bizuter. Puis même, je n’arriverai pas à garder mon calme en vivant h24 avec eux pour être honnête. Vous vous en douter sûrement, il ne faut pas trop me chercher ou vous risqueriez de vous retrouver à l’infirmerie de l’université, bien que je ne sois pas quelqu’un de violent, en général. Bien sur, je ne me comporte pas du tout comme ça lorsque je suis accompagné de ma bande de potes qui sont, pour la plupart, des étudiants comme moi, sans confrérie. Très cool à vivre et supporter au quotidien, tout le monde vous le confirmera si vous leurs demander. Je suis un élève assidu et soigné en cours, je veux réussir pour avoir une chance de faire le métier de mes rêves : historien, spécialiste de la seconde guerre mondiale. Mais pour ça, faut réviser et tout le bordel. Néanmoins, je peux également me montrer chiant, très rancunier, surtout si on me fait une crasse ou parle derrière mon dos, par exemple.

admission à harvardComment s’est passé mon admission à Harvard ? Eh bien tout simplement, parce que j’en parlais beaucoup avec mes parents et contre toute attente, ils étaient très fiers d’apprendre que je voulais étudier là-bas pour mes études. Ayant fait partie de cette université lorsqu’ils étaient eux-même étudiants, c’est avec joie qu’ils avaient rempli mon dossier d’admission pour cette grande université. Bien sur, on ne rentre pas comme ça dans ce genre d’endroit. Il fallait également que je dise mes motivations et mon envie d’étudier. C’est ainsi que je me suis retrouvé étudiant à Harvard.

story of my lifeDes cris très aigus se firent entendre dans tout le Manoir familial, ce soir d’été particulièrement chaud à Rome. Ma mère se trouvait dans le salon en train de regarder une émission à la con, quand elle fut soudainement prise de violentes douleurs en bas du ventre, étant enceinte de neufs mois et à terme de sa grossesse, elle savait qu’elle allait donner naissance à son premier fils, moi en l’occurrence. Mon père se trouvait au travail et quand son épouse l’avait appelé en disant qu’elle perdait les eaux, il s’était précipité pour lui venir en aide et surtout, pour l’emmener à la maternité. C’est ainsi que je suis né. Mes parents travaillent en tant qu’officier militaire italien pour l’un et cuisinière renommée dans un restaurant quatre étoiles aux États-Unis.

Mama, j’ai faim ! Qu’est-ce qu’on mange ?

Disais-je en regardant ma mère préparer le repas du midi. Il était relativement tôt encore pour penser à casser la croûte et elle me l’avait bien dit d’ailleurs, mais à 9 ans, j’étais déjà un enfant capricieux qui désirait tout, tout de suite. Et ça, malheureusement, ça n’avait pas plu à ma mère…

Zeno… C’est encore le matin, il est trop tôt encore. Ma, va jouer en attendant.

Bien que je fusse élevé par une mère aimante et protectrice, j’avais un sacré caractère et ne me laissait pas faire. Mais je n’insistait pas cependant, car je comprenait qu’elle ne céderait jamais à mon chantage d’enfant gâté. Oui je viens d’une riche famille et non, je n’ai pas honte de l’avouer, bien au contraire. J’aime montrer que je suis riche, mais sans en faire trop, néanmoins.

Mon enfance et adolescence se sont très bien passées. J’ai oublié de vous dire, mon père est italien et ma mère, américaine. Ce qui fait que je suis italo-américain. Âgé de 16 ans, j’étais un adolescent et lycéen respecté. En même temps, venant d’une riche famille, ce n’était pas étonnant… Mes amis étaient surpris à chaque fois de voir mes parents m’emmener à l’école en limousine… Partout ou j’allais, on me demandait des photos et autographes, bien que ma famille ne soit pas célèbre. Ils étaient, tout de même, connu pour leurs métiers. Cela ne me déplaisait pas tant que ça en fait… Quelques mois plus tard, j’avais perdu mon grand-père… En effet, celui-ci avait été retrouvé inanimé, chez lui, terrassé par une crise cardiaque… Il avait 69 ans. Quand j’ai su ce drame, mon monde s’écroulait… Mon papy venait de mourir et j’avais eu beaucoup de mal à m’en remettre. Mes parents faisaient tout pour me remonter le moral, mais rien n’y faisait, jusqu’à ce qu’ils me dise d’aller voir une psychologue, même ça, ça ne marchait pas. Alors, je continuait d’aller au lycée quand même, parce que je le voulais et de toute manière, je ne voulais pas décevoir ma famille. Je dormais mal, faisait beaucoup de cauchemars mais mes parents et mes deux petits-frères, étaient là pour me rassurer.

Quelques années plus tard, après le lycée et ayant obtenu mes diplômes haut la main, alors qu’au début, ce n’était franchement pas gagné… J’avais finalement pris le chemin de l’université d’Harvard pour me spécialisé en histoire et surtout sur la seconde guerre mondiale, afin de devenir un écrivain à succès. Mais avant d’entrer dans cette université, il fallait bien rempli un dossier d’admission, non ? Mais pas de soucis, puisque ce fut mes parents qui s’en occupaient. Voilà comment je me suis retrouvé étudiant en histoire à Harvard.