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I LOVE HARVARD
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    i like me better when i'm with you [mingess]
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    Lien du postDim 20 Jan - 15:51:16
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    w/ @hae-won min
    T'allais enfin pouvoir quitter cet hôpital dès aujourd'hui, mais avant de partir, le temps d'attendre que toni passe te chercher, tu voulais voir hae. t'avais pas pu lui rendre visite jusqu'à aujourd'hui et malgré que tu sois au courant qu'elle était sortit d'affaire, tu ne pouvais pas quitter cet hôpital sans te rendre à son chevet. Une fois tes affaires rangées, t'envoies un message à toni afin de lui dire qu'il ne se presse pas puisse que tu avais décidé d'aller voir hae dans sa chambre. Tu connaissais déjà son numéro de chambre et t'y rendit sans plus attendre. Qu'est ce que t'étais rassuré de savoir qu'elle allait bien, parce que d'après tes souvenirs, elle était en plus piteux état que toi à la fête foraine. Tu frappes à sa porte, espérant qu'elle soit seule, l'ouvre et passe ta tête discrètement. Elle était là, seule, dans son lit sur l'ordinateur. - Salut, je te déranges pas ? - tu souris sereinement, puis rentre dans la chambre, prenant soin de refermer la porte derrière toi. Même si elle n'avait pas donné son accord pour que tu rentres, tu savais qu'elle n'allait pas te dire de partir ou alors, tu serais bien surpris. - Je peux enfin sortir, donc je voulais en profiter pour te rendre visite avant que toni passe me chercher. Je peux pas conduire encore. - sans attendre une quelconque réponse, tu t'avances vers elle et agrippes tendrement sa main pour y déposer un baiser dessus, puis un autre sur son front en te penchant vers elle - tu m'as fais trop peur hae... tu te sens comment ? -
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    Lien du postMer 23 Jan - 1:16:35
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    { i like me better when i'm with you }
    w/ @Zed Burgess
    Images floues. Incertaines. Ne percevant que des formes. Des mouvements.  Une détonation. Liquide rougeâtre qui ruisselait le long de ton bras. Se mêlant à la poussière du sol. S'enfonçant dans la terre. Souvenirs indécis. Cauchemar qui ne faisait que se répéter. A chaque nuit. Dès que tu tentais de fermer les paupières. Tu ne te souviens presque plus de rien. Juste de Zed. Son sourire étincelant étant le dernier tableau auquel t'avais assisté avant que la bombe n'explose. Tu t'étais brusquement réveillée dans une chambre d'hôpital. Perdue. Egarée. A la recherche d'un moindre repère. D'une attache émotionnelle. Solitude apparente. N'ayant aucune connaissance de la situation actuelle. Ni des blessés potentiels. Ne sachant même pas si ta soeur était également présente. Le bras droit coincé dans un plâtre. Le bas de ton dos recouvert de bandages. Corps marqué à vie. Cicatrice qui deviendra visible. Les médecins t'avaient interdit de bouger. Cloîtrée dans cette minuscule chambre. Espérant simplement que tu puisses trouver un moyen de fuir. Parce que clairement, t'allais craquer. Devenir folle. T'avais besoin de respirer. Prendre l'air. Alors lorsqu'on vient toquer à ta porte, t'as cette lueur d'espoir qui scintille dans ton regard. N'ayant même pas le temps d'ouvrir la bouche qu'il se permet d'entrer. Zed, il se tient devant toi. Sentiment apaisant qui s'empare de ton être dès lors que ton regard empli d'amertume se pose sur lui. Tu secoues négativement la tête, lui faisant comprendre qu'il ne te dérangeait pas. Rassurée qu'il puisse se tenir debout. Rassurée qu'il soit toujours en vie. Rassurée qu'il soit venu pour toi. Oubliant pendant quelques secondes qu'il ne t'appartenait plus. Oubliant pendant un court laps de temps ce chaos émotionnel et sentimental que représentait votre relation. "C'est gentil d'être passé me voir. T'étais pas obligé tu sais... Fin je veux dire... Tu n'as pas à te sentir redevable ou autre..." tu lui réponds, notant au passage que pas une seule fois il ne l'a mentionné, elle. T'arrives pas à te détacher de son regard. T’es comme hypnotisée. Envoûtée. Tu te mords la lèvre inférieure. T’es perturbée. T’as arrêté de respirer au moment même où il est entré. A la seconde même où il est apparu. Dans ta chambre. Dans ton intimité. Au cœur même de ta vie privée. T’as ce mal-être qui ne te quitte pas. Un mal-être qui t’envahit, qui te brûle. T’as envie d’hurler. De crier. De pleurer. Les émotions te submergent. T’étais vraiment pas préparée à ça. Surtout que maintenant qu’il est là, tu te rends compte à quel point t’as besoin de lui. De sa présence. T’as besoin de le sentir tout près de toi. Un besoin devenu vital. Les questions se bousculent dans ta tête. Appréhendant la raison de sa venue. T’interprètes déjà. Convaincue qu’il est venu pour alléger ta peine. Mettre fin à ta souffrance. Déconcertée lorsqu'il vient se saisir de ta main, déposant ses lèvres au passage. Puis, il vient se pencher vers toi, ses lèvres venant marquer ton front. Douceur presque douloureuse. A quoi jouait-il ? Calme toi Hae. C'est juste affectueux. T'emballes pas. T'emballes plus dès que Zed Burgess t'adresse un geste amical. "Je vais bien, ne t'en fais pas" tu mens, détournant lentement ton regard du sien. Mentionnait-il ton état physique ? Ou faisait-il allusion à la tempête sentimentale qui sévissait dans ta poitrine ? "C'est plutôt à moi de te demander ça... T'étais touché à la tête... T'es sûr que tu peux déjà sortir ? Toni va rester avec toi ? Ou Ella ? Ou...Rom..." tu te tais abruptement, te mordant la lèvre. T'inspires, tes doigts allant se balader dans sa tignasse. Parcourant doucement sa blessure. Penchant sa tête vers toi pour que tu puisses rapprocher tes lèvres de sa plaie. Venant tendrement y déposer un baiser. Demeurant dans cette position pendant quelques secondes. Puis tu finis par rompre le charme. Replaçant cette barrière "amicale" entre vous. "Bisou magique pour te guérir de tous tes maux" t'ajoutes, un sourire barrant tes lippes.    
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    Lien du postSam 26 Jan - 16:32:26
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    w/ @hae-won min
    t'avais pris cher pendant cet attentat, mais ce n'était rien comparé à certains qui ont péris... heureusement, aucune personne chère à tes yeux ne faisait partie des décédés. vu dans l'état dans lequel hae s'était trouvée, elle y a échappée de peu. c'est dans ces moments là qu'on se rend compte à quel point les gens peuvent compter pour vous. bien que tu n'es jamais douté de l'importance que hae avait pour toi. hae, tu l'as toujours su... elle fera partie de ta vie à tout jamais. et tu allais tout faire pour. tu t'assois à ses côtés sur le fauteuil, puis après qu'elle t'es rassurée en te disant que tout allait bien, tu pouvais pas t'empêcher de t’inquiéter quand même. bizarrement, elle semble encore plus s’inquiéter pour toi. et ça te touches en plein coeur... t'arques un sourcil, puis souris légèrement - je me sens pas redevable... je m’inquiètes vraiment pour toi... tu crois quoi. - tu crois vraiment que je m'en fou de toi hae ? si il y a bien une personne dont je suis sur de ne jamais me lasser, c'est bien toi... - alors oui, je m'en fais pour toi. - puis d'un regard espiègle, tu lui lances, sourire amusé aux lèvres - moi qui comptait te mettre une raclée au tir à la carabine, c'est raté. - tu blagues un peu pour positiver, mais la voir allongée là, fatiguée et encore marquée par les blessures, ton visage s'assombris peu à peu. - ouais... toni et ella vont s'occuper de moi... même si franchement, j'ai besoin de personne. c'est pas des points à la tête qui vont me rendre incapable de faire quoi que ce soit, mais bon... j'ai les meilleurs amis du monde, je dois bien l'avouer - il fallait bien qu'elle parle de romee à moment donné. elle n'était pas au courant et t'as pas pris la peine de l'appeler pour lui en parler. à quoi ça aurait servit de toute manière... tu voulais éviter le sujet romee... c'était pas le moment de parler d'elle, alors tu te contentes d'un petit résumé - romee est repartie au luxembourg, on est plus ensemble... longue histoire. c'est pas important. - tu roules des yeux agacé, puis soupire légèrement. hae n'était pas la personne la plus adéquat pour parler de mon couple, qui n'en est plus un, avec romee. est ce que tu regrettes tout ce qui s'est passé avec la capitaine des cheerleaders ? ton couple avec elle ? avoir fait souffrir hae pour te mettre en couple avec elle ? probablement pas. romee, tu ne peux pas le nier, elle t'a retourné complètement. tu ne peux pas nier non plus que tu ne l'as jamais aimée. tu l'as aimé et ça ne s'oublie pas comme ça. mais faire souffrir hae pour un mauvais choix, ça tu le regrettes. mais tu ne peux pas revenir en arrière. c'est comme ça. tu la regardes et lui sourit tendrement lorsqu'elle t'embrasse sur ta plaie entrain de cicatriser. - c'est efficace... j'ai presque plus mal - oui presque plus... le silence s'installe, tu regardes autour de toi, puis tu replonges ton regard dans le sien et l'observes longuement... sans rien dire, tu entremêles tes doigts aux siens, ton palpitant s'emballe un peu plus au contact de sa peau, à l'image que te renvoies vos deux mains accrochées l'une à l'autre.
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    Lien du postVen 1 Fév - 1:06:56
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    w/ @Zed Burgess
    T’as pas d’échappatoire. T’es obligée de lui faire face. D’entendre ce qu’il a te dire. T’es piégée. Mais tu ne cherches pas à fuir. Zed, il est venu à toi. De lui-même. Scène presque invraisemblable. Tableau idyllique irréel. Je m’inquiète vraiment pour toi. T’as cette boule au ventre qui a décidé de s’installer de manière permanente depuis que vous avez repris contact. Boule qui ne demande qu’à sortir de sa cage thoracique. Ton coeur, il cogne si fort dans ta poitrine. Douleur plaisante. Mais tu ne peux t’empêcher de repenser à ce qu’il t’avait avoué lors de son anniversaire. T’as ces mots violents et blessants qui tournent en boucle dans ta tête. T’arrives juste pas à passer à autre chose. Tu le dévisages longuement. Ne sachant pas vraiment ce que tu étais censée lui répondre. « Il en faut plus pour tuer une Min, je te rassure » tu tentes de plaisanter, un sourire venant s’étendre sur tes lèvres. « Mais je ne voulais pas t’inquiéter… Désolée.. » t’ajoutes d’un air presque solennel. Ne sachant pas comment tu devais le recevoir. Incapable de faire volet en éclats ce mur que t’avais érigé depuis qu’il t’avait repoussé. Pour la seconde fois. Incapable de te détacher de son regard de braise. De ses yeux étincelants qui te transpercent de toute part. Te sentant tout bonnement impuissante face à cette attraction Zed, il mentionne ce rendez-vous que vous avez manqué suite à l’explosion de la bombe. Faisant référence à son désir de te battre au tir à la carabine. Rire éclatant qui t’échappe. Poussant un long soupir faussement exaspéré. A croire qu’il te sous-estimerait toujours ce Burgess. « A charge de revanche alors. Même si je t’avouerai que j’ai pas spécialement envie de remettre les pieds là-bas… d’ailleurs… Tu sais s’ils… si les terroristes ont été attrapés ? » N’étant pas certaine de pouvoir te rendre à nouveau dans une fête foraine. Tout du moins, pas de sitôt. Tu scrutes son visage énigmatique. Fermé. Te donnant l’impression qu’il porte un lourd fardeau sur ses épaules. Te faisant violence pour freiner cette envie irrésistible de le prendre dans tes bras et le réconforter. Te rappelant que ce n'était désormais plus ton rôle. Ni ta place. T’es en colère, Hae. En colère contre toi-même. Ta stupidité te saute aux yeux. Tu te sens coupable. Coupable de ressentir encore de telles envies, de tels désirs pour lui. Rien qu’en sa présence. T’as essayé. Vraiment. De le sortir de ta vie. De tes pensées. Sans succès. Il s’accroche à toi. Et tu en fais de même. Inconsciemment. T’as beau lutté, rien à faire. Tu ne comprends pas. Tu ne comptes plus le nombre de fois où il t’a fait mal. Il joue avec toi. Avec ton cœur. Il en fait ce qu’il veut. Il le torture avec aisance. Tu dois faire cesser cette souffrance, cette peine que tu ressens à chaque fois que tes yeux se posent sur lui. Mais en as-tu réellement la force ? T’en sais strictement rien. Epuisée, tu te sens impuissante. Sans défense. Dépendante. Ça ne te plait pas forcément. Te sentir liée à lui de cette manière. Mordillant ta lèvre inférieure, tu tentes de rester attentive à ce qu'il te dit. Acquiesçant de la tête, rassurée de savoir que Toni et Ella allaient prendre soin de lui. Mais c'était bel et bien un autre nom qui t'intéressait tout particulièrement. T'étais pas forcément à l'aise quand il faisait référence à Romee. Fierté qui revenait en force, tel un rappel permanent pour te rappeler que t'avais perdu face à elle. Romee est repartie au luxembourg, on est plus ensemble... longue histoire. c'est pas important. T'écarquilles les yeux, révélation des plus inattendues. Romee et Zed n'étaient plus ensemble ? Elle était repartie au Luxembourg ? T'as dû mal à assimiler toutes ces informations d'un seul coup. Poil de tes bras qui s'hérissent. Ayant du mal à dissimuler cette joie assumée. Reprends-toi Hae. "Je... Je suis désolée... Je pensais que toi et romee vous.. fin tu vois quoi... que c'était celle qui te fallait.. fin... d'accord... vous êtes plus ensemble... mais... je suis désolée que ça n'ait pas marché comme tu l'aurais souhaité..." tu lâches, le coeur lourd. Désolée, tu l'étais sincèrement. Mais t'arrivais pas à comprendre comment leur relation avait pu se finir comme ça. D'un coup. Sans préavis. Alors quoi ? T'avais souffert pour rien ? Il t'avait repoussé pour au final seul ? Vraiment, t'arrivais pas à comprendre la logique dans cette histoire. Absorbée dans tes pensées, Zed finit par te sortir de ta transe. T'avouant que ton baiser sur sa plaie avait eu l'effet escompté. Sauf que c'est pas là que j'aurais aimé t'embrasser, idiot. T'as le souffle court. Saccadé. Silence qui règne en maitre dans la chambre d'hôpital. Perdue dans l'immensité de son regard. Ses doigts venant subitement s'entremêler aux tiens. Tu tressaillis face à ce contact. Ne désirant pas rompre le charme qui opérait. Ton coeur s'emballe. Tu ne sais plus quoi rajouter. Les mots n'étant pas utiles pour exprimer l'amour que tu pouvais ressentir pour cet homme. "Rapproche-toi Zed..." tu lui demandes promptement. Son front venant se coller au tien. Et tu fermes les paupières. Son âme se liant une fois de plus à la tienne dans une étreinte interdite. "Merci d'avoir survécu... merci..." Décidément, t'étais toujours aussi éprise. Zed demeurait l'objet de tes soupirs. Chagrin et peine se mélangeant à la passion amoureuse.
     
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    Lien du postVen 1 Fév - 23:21:59
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    w/ @hae-won min
    t'avais essayé de détendre l'atmosphère pesante... la voir allongée dans cet état te retournais le bide. t'avais eu peur de la perdre. tellement peur. c'est là que tu te dis que la perdre serait un événement qui t'aurais détruit à tout jamais. tu pouvais pas vivre sans elle, sans sa présence. depuis toutes ces années, hae elle faisait partie de ta vie, de près ou de loin. non, la perdre aurait été plus qu'insoutenable. qu'en était-il de vous à l'heure actuelle ? t'en savais rien, t'arrivais pas à mettre de mots sur ce que vous représentez tout les deux pour toi. tellement de choses à la fois. tu t'en voulais encore pour tout ce que t'avais pu lui dire, toutes ces choses horribles que tu lui avais déballées... t'étais gêné, t'étais honteux. tu t'en voulais atrocement. hae était la dernière personne a mériter ces mots. que ça vienne de toi ou de quelconque autre personne. hae, elle ne méritait que des mots doux, des mots réconfortants. t'avais merdé, par amour pour une autre... et tu t'en voulais et tu te le pardonnerais jamais. mais maintenant, la seule chose qui comptait à tes yeux, c'était l'instant même. l'instant du pardon peut-être. alors, t'essayes de lâcher des petites vannes histoire de commencer en douceur... et tu ris légèrement lorsqu'elle te défies pour une prochaine fois, puis tu grimaces... elle t'avoue ne pas vouloir revenir sur les lieux pour l'instant. toi non plus - je comprends, t'inquiètes. - toi même tu savais pas encore ce qui s'était passé, si les assaillants avaient été attrapés. tu n'avais pas trop voulu regarder les infos... c'était encore trop récent pour toi. t'hausses les épaules en grimaçant - non, pour l'instant je sais rien de plus. j'évite de regarder les infos... je sais juste que c'était un attentat. - tu sais que beaucoup on perdus de leurs proches. dans les couloirs, ça pleure encore. t'es tombé sur des scènes déchirantes et tu te dis que tu es chanceux et que t'as pas le droit de te plaindre, parce que tu vas bien, parce que les gens que t'aime vont bien. parce qu'elle va bien. tu souris légèrement puis ton regard se déplace vers vos doigts entremêlés. une scène qui te rappelle tant de souvenirs et qui te rassure aussi. elle n'a pas l'air de vouloir mettre un terme à ce rapprochement et t'en demande même encore plus. tu la regardes de nouveau... tu sais pas quoi faire. est-ce que c'est le bon moment ? mais la magie de l'instant présent te pousses à te rapprocher d'elle, comme elle te l'a demandé. tu te racles la gorge, sourire nostalgique aux lèvres, les yeux brillants et respire un bon coup. front contre front, tu sens sa respiration qui s'accélère de plus en plus. puis, tu te détache de sa main pour poser la tienne sur la joue et te rapproche de plus en plus de ses lèvres... tu peux plus faire marche arrière... t'en a pas envie d'ailleurs. c'est pour cette raison que tu décides de ne penser à rien, de ne pas te poser de questions comme t'as trop l'habitude de faire. tu déposes doucement un baiser sur ses lèvres et fermes les yeux histoire d'apprécier cet instant au maximum. palpitant qui s'affole, de plus en plus. un baiser qui dure... un baiser qui est vrai. l'instant magique. d'un geste doux, tu caresses sa joue de ton pouce et tu te recules doucement puis la regarde. sans dire un mot durant quelques instants. t'es perdu burgess. complètement... tu secoues brièvement la tête histoire de chasser, une nouvelle fois, toutes ces putains de questions que tu te poses. c'est pas le moment. puis, tu te lèves et lui dit complètement à l'ouest... - tu... mh, tu veux que j'aille te chercher un truc à manger en bas ? - c'est surement pas les mots auxquels elle s'attendait, mais t'es zed burgess et t'arrives pas à dire réellement ce que tu penses à l'instant même. et puis, tu te dis qu'elle a surement besoin de temps aussi. temps que tu lui laisseras... elle a bien attendu pour toi elle.
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