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FLORENCE MALEE CASTELLI ► christina nadin
39 Réponses2480 Vues
florence malee
castelli
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“ Florence M. Castelli ”[/size]
Raphaël Castelli~David Prat
39 Réponses3362 Vues
Raphaël
Castelli
Castelli
feat david prat
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This is your story
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CHAPTER ONE
Venise, Italie. Le 20 juillet 1997 un petit garçon né. Il s’appelle Raphaël Castelli.Le premier regard qu’il reçoit est un profond regard d’amour donné par sa tendre mère. Son père lui, lui donna un regard de fierté à la seconde où il le vu.
C’était un beau bébé. Très beau même, et surtout très joyeux. Pendant cinq ans il éblouit ses parents un peu plus chaque jour. Il était très intelligent, il aimait apprendre et s’amuser. Son père vu rapidement en lui un futur héritier.
Pourtant, en une seule journée tout changea.
Les actions man de Raphaël étaient en plein commando afin de sauver Barack Obama lorsqu’il entendu des pas provenant de l’entrée. Il n’y prêta pas une grande attention et continua de jouer. Qu’ils étaient forts ses action man ! BAM le président était sauvé et lui, recevait la légion d’honneur.
D’un coup, la porte du salon s’ouvrit, laissant entrer ses deux parents.
Enfin ! Ils étaient là ! Il se leva, souriant à pleine dents. Il allait se jeter sur eux pour les enlacer lorsqu’il aperçut une petite ombre derrière eux.
Curieux, il allait s’approcher lorsqu’il se posa une question.
Cette ombre. Que cachait-elle ? Un bébé dragon ? Un nouveau jouet ? Un chien ? Mais oui ! Un chien ! Cela devait être un chien. Il en avait la taille et puis cela fessait si longtemps qu’il en demandait un. Ses parents avaient enfin cédés. Il était trop fort.
Il commença à avancer, son excitation grandissement à mesure qu’il avançait.
Plus que quelques mètres et il y serait. Pas à pas l’ombre devenait de moins en moins sombre et ressemblait de moins en moins à un chien. A la fin, il se retrouva né à né avec une petite fille aux boucles brunes. Il recula. Une fille ? Mais pourquoi ?
Doucement sa mère se mis à sa hauteur et le regard droit dans les yeux.
-Je te présente Florence. Elle vivra avec nous désormais. Elle a le même âge que toi ne t’inquiète pas. Soit gentil avec elle.
Gentil. Gentil ? Ses parents lui fessaient-ils une blague ? Comment pouvait-il être gentil ? Ce sont ses parents ! Les siens ! Il les a mérités !
Pris d’une colère indéfinissable, il jeta ses actions man par terre et parti en courant dans le jardin, dans sa cachette secrète. Personne ne pourrait le trouver ici.
Il s’enroula dans sa couverture et ferma les yeux, laissant les larmes couler. Il ne bougerait pas. Il se laisserait mourir de faim et de soif s’il le fallait mais il ne bougerait pas. Pas tant que cette créature sera chez lui. Une fille ! Et puis quoi encore ? Berk ! Si elle reste elle va tout détruire, elle va maquiller ses actions man, casser ses voitures de collection ! Jamais ! Il resterait ici.
Une heure plus tard il entendit des pas. C’était forcément son père. Le seul à avoir déjà trouvé sa cachette. Enfin ! Ils avaient changés d’avis, ils étaient devenus raisonnable, ils avaient compris qu’ils n’aimaient que lui et personne d’autre.
Il s’assit et attendit. Quelques minutes plus tard une tête brune passa la tête dans sa cachette.
Elle était là. La chose était là. Et elle le fixait ! Il ne savait pas quoi dire, quoi faire. Il attendit qu’elle bouge, qu’elle fasse quelque chose, mais rien. Elle s’assit, le regarda et lui sourit. Mon dieu ce sourire. Ce putain de sourire. Tout commença à partir de là, de ce sourire. A ce moment précis, il sut. Il sut qu’il la protégerait et l’aimerait comme un frère toute sa vie.
CHAPTER TWO
Tout ce qu’il voulait, c’est être parfait, remplir son rôle d’ainé, protéger sa sœur, rendre les parents heureux et ne jamais sortir des sentiers battus.
Et puis le lycée entra en scène. Il arriva doucement, gentiment sans espérance. Tout le monde connaît l’histoire, le gentil garçon fragile qui rencontre les mauvaises personnes et qui change d’un seul coup. Cigarettes, alcool et tout le reste, il prend de l’assurance, se moque des plus faibles et fait de plus en plus la fête. C’était pas si mal, il travaillait toujours mais s’amusait à côté. Papa était content et lui aussi.
Un jour il remarqua que les filles s’intéressaient de plus en plus à lui mais il ne savait pas vraiment pourquoi. Sa première copine. Elle n’était pas si belle, son corps pas si parfait mais elle était terriblement gentille, elle avait tellement plus que ces autres filles qui lui léchaient les bottes tous les jours. Il ne savait pas vraiment si il l’aimait en tout cas il le pensait. De jours en jours il s’attachait, il n’écoutait plus les moqueries de ses amis et ne voyait plus qu’elle, il s’adoucissait pour elle, pour qu’elle ne l’abandonne pas. Trop rapidement, il était devenu dépendant de cette petite blonde aux grands yeux. Encore une fois, tout le monde connais l’histoire. Elle lui brisa le cœur. Ce fut lent et douloureux. Lors d’une soirée un peu trop arrosée elle commit l’irréparable. Mais ce ne fut pas si douloureux car il la pardonna. Mais elle ne s’arrêta pas là, elle continua de parler à ce garçon et elle en tomba lentement amoureuse.
Raphaël lui, ne se doutait de rien, continuait à l’aimer, à la chouchouter. Evidemment il vit les messages par un pur hasard sans vraiment chercher à l’espionner. Elle ne chercha même pas à nier, elle lui avoua la vérité. La raison ?
-On est trop différent toi et moi, j’avais besoin de quelqu’un d’affectueux, qui pouvait m’apporter plus. Et maintenant je l’ai trouvé.
Au moment où il entendue ces mots son cœur s’endormis pour ne jamais se réveiller. Après tout il vaut mieux ne pas avoir de cœur plutôt que de le voir se briser.
JUST HARVARD
Harvard. Enfin il y est. Son échappatoire tant rêvé, sa nouvelle vie. Tout est prêt, un bel appartement dans le centre de Boston avec Florence et une envie de liberté à n’en plus finir.
Une cigarette à la main il pose pour la première fois le pied dans son nouveau monde et observe autour de lui. Il le sait, il est fait pour Harvard et Harvard est fait pour lui. Après tout, pour changer le monde il faut s’en donner les moyens non ?
FACTS
* Il aime sa sœur plus que tout et ressent un besoin constant de la protéger
* Ils ont tous les deux été choqués de la tromperie de leur père lorsque ils avaient douze ans, ce qui a affecté sa vision de l'amour
* Respecte son père plus que tout et trouve sa mère trop faible
* Ne rêve que de liberté et de s'amuser
* Déteste la société actuelle,Impossible à cerner, froid, drôle
* Ne s'attache presque jamais et ne donne que très rarement sa confiance (que à Florence jusqu'à maintenant)
* Prend plaisir à jouer avec les sentiments des gens et à les manipuler lorsque cela lui est bénéfique
* Tire avantage de sa richesse autant qu'il le peux
* Vie dans un appart dans le centre de Boston avec sa sœur Florence.
* N'est tombé amoureux qu'une seule fois
* N'est pas encore décidé sur son futur métier
* Fait du droit par dépit et de la sociologie par envie
EDITH DURAND ► Zoella Sugg
39 Réponses1486 Vues
Edith
Durand
Durand
feat Zoella Sugg
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STEPHEN ANDREW RIVERS ► jamie dornan
59 Réponses1943 Vues
stephen andrew
rivers
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REESE LINDLEY ►scarlett leithold
36 Réponses2330 Vues
Reese
Lindley
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you're gonna love this #underwood
9 Réponses474 Vues
Je souris comme une idiote, mais c’est plus fort que moi. J’suis la fan {#}1{/#} de Bahi et toi. « On a dormi chacun de notre côté mais... ouais, c'est une bouillotte. » Qui aurait cru que Bahi serait du genre chaleureux. Bon après, tous les mecs semblent avoir une température corporelle plus élevé que la moyenne. C’est pour réchauffer les filles, c’est tout. Je demande ensuite si c’était dans ton lit ou le siens et j’ai droit à un coup de pied dans le vide qui me fait rire d’avantage encore. « T'es conne ! Oui c'était dans son lit, mais non y'a pas de "coquine" qui tienne ! J'suis encore vierge moi, remember ? Pas comme toi... » Je prends un air faussement outré et m’extirpe finalement du lit. À force de rouler, j’ai mal au crane. « Jalouse va! Un jour ta nuit viendra. » Je me tourne et te fait un clin d’œil avant de te tirer la langue et de sortir l’alcool que j’ai pour nous. « Buvons maintenant! »
BEBE ZAÏMIS ► romee strijd
31 Réponses2184 Vues
bebe
zaïmis
zaïmis
feat romee strijd
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LOWELL HOUSE
ahhh, la lowell. elle en a rêvé dès qu'elle a appris l'existence de cette maison. c'est en lisant la fiche d'identité de celle-ci qu'elle s'est entièrement reconnue à travers les mots et les lignes. bebe? artiste. artiste? bebe. l'équation est simple. elle ne serait habituellement pas du genre à vouloir se coller une étiquette sur le front, ou même à s'intégrer dans un tas à tout prix, mais dès lors qu'il s'agit de ce qu'elle aime, de ce pour quoi elle se passionne depuis tant d'années, ses principes, elle les fout en l'air. si elle peut vivre avec des êtres semblables, capables de comprendre sa fièvre artistique, elle signe.
STUDENT
il y aurait bien la dunster house ou la quincy house qui lui auraient convenus, mais nan, elle était pas assez convaincue. elle n'a porté que dans son cœur la lowell. elle s'y voit déjà, fière membre des violets, des créatifs, des rêveurs, des visionnaires. alors, s'il advienne qu'elle ne puisse pas rejoindre les rangs des convoités, elle préfère voguer librement sans aucun attachement à aucune maison. tant pis, elle vivra très bien avec.
ahhh, la lowell. elle en a rêvé dès qu'elle a appris l'existence de cette maison. c'est en lisant la fiche d'identité de celle-ci qu'elle s'est entièrement reconnue à travers les mots et les lignes. bebe? artiste. artiste? bebe. l'équation est simple. elle ne serait habituellement pas du genre à vouloir se coller une étiquette sur le front, ou même à s'intégrer dans un tas à tout prix, mais dès lors qu'il s'agit de ce qu'elle aime, de ce pour quoi elle se passionne depuis tant d'années, ses principes, elle les fout en l'air. si elle peut vivre avec des êtres semblables, capables de comprendre sa fièvre artistique, elle signe.
STUDENT
il y aurait bien la dunster house ou la quincy house qui lui auraient convenus, mais nan, elle était pas assez convaincue. elle n'a porté que dans son cœur la lowell. elle s'y voit déjà, fière membre des violets, des créatifs, des rêveurs, des visionnaires. alors, s'il advienne qu'elle ne puisse pas rejoindre les rangs des convoités, elle préfère voguer librement sans aucun attachement à aucune maison. tant pis, elle vivra très bien avec.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
ce qu'il s'est passé durant cette période à harvard, elle aimerait l'oublier définitivement. bien-sûr, c'est quelque chose qui commence à se faire vieux, ce sont des années qui la séparent désormais de ces atrocités, mais il y aura toujours des nuits où elle y pensera. elle fermera les yeux et reverra en boucle ces scènes, entendra de nouveau la radio qui gronde et les cieux qui s'assombrissaient. elle, elle n'a rien eu. du moins physiquement. mentalement, c'est autre chose. il y aura toujours des séquelles et des souvenirs qui lui rappelleront que même là, à harvard, ou chez soi, au coin du feu, on n'est jamais totalement à l'abri.
ce qu'il s'est passé durant cette période à harvard, elle aimerait l'oublier définitivement. bien-sûr, c'est quelque chose qui commence à se faire vieux, ce sont des années qui la séparent désormais de ces atrocités, mais il y aura toujours des nuits où elle y pensera. elle fermera les yeux et reverra en boucle ces scènes, entendra de nouveau la radio qui gronde et les cieux qui s'assombrissaient. elle, elle n'a rien eu. du moins physiquement. mentalement, c'est autre chose. il y aura toujours des séquelles et des souvenirs qui lui rappelleront que même là, à harvard, ou chez soi, au coin du feu, on n'est jamais totalement à l'abri.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
bebe, même pas elle a quitté boston pour le spring break. même pas elle a voulu suivre tous ses potes et ses camarades de classe pour le chili, et elle a bien fait. elle ose même pas imaginer ce qu'elle aurait fait si elle y avait été, comment elle aurait réagi, si elle s'en serait sortie avec son petit corps frêle et son mental fragile. mais une chose est sûre, c'est qu'elle a eu de la chance. même si elle n'y était pas, elle a eu la chance de retrouver ses amis intacts au retour du voyage, ses amis qu'elle a serré fort dans ses bras et qu'elle n'a plus lâchés. elle a eu si peur.
bebe, même pas elle a quitté boston pour le spring break. même pas elle a voulu suivre tous ses potes et ses camarades de classe pour le chili, et elle a bien fait. elle ose même pas imaginer ce qu'elle aurait fait si elle y avait été, comment elle aurait réagi, si elle s'en serait sortie avec son petit corps frêle et son mental fragile. mais une chose est sûre, c'est qu'elle a eu de la chance. même si elle n'y était pas, elle a eu la chance de retrouver ses amis intacts au retour du voyage, ses amis qu'elle a serré fort dans ses bras et qu'elle n'a plus lâchés. elle a eu si peur.
TON ADMISSION A HARVARD
lorsqu'elle s'est mise elle-même en tête de rejoindre harvard, ce n'était qu'une lubie aux yeux de sa mère. un rêve inaccessible. une finale déception parmi tant d'autres. mais, bebe, en dépit de ses notes plutôt convenables mais pas aussi brillantes que celles de son voisin, elle en a voulu. ouais, elle avait la gnaque. elle n'a pensé qu'à ça des mois durant, elle a bossé, bossé, si bien qu'elle n'en est plus sortie. elle avait la vision des meilleurs enseignements d'art en tête, elle avait de l'ambition, peut-être la seule qu'elle aura réellement au cours de sa vie. les SATs, elle les a passé tout juste, mais elle en était sacrément fière. son dossier il était clean, pas un dérapage, une bonne conduite, un petit parcours mais des recommandations. l'essay qu'elle a rédigé, elle y a mis cœur et âme. elle l'a lu à tout le monde pendant un moment, elle se pavanait telle un paon avec son papier à la main. et finalement, l'entretien. elle avait sacrément le trac, la gosse. pas encore aussi à l'aise que maintenant, mais elle a pris son courage à deux mains, elle a parlé avec ses rêves et ça a porté ses fruits. alors, ouais, elle peut se vanter d'avoir réussi sans l'aide de personne, sans être quelqu'un de spécialement important, sans avantages. seulement à la sueur de son front.
lorsqu'elle s'est mise elle-même en tête de rejoindre harvard, ce n'était qu'une lubie aux yeux de sa mère. un rêve inaccessible. une finale déception parmi tant d'autres. mais, bebe, en dépit de ses notes plutôt convenables mais pas aussi brillantes que celles de son voisin, elle en a voulu. ouais, elle avait la gnaque. elle n'a pensé qu'à ça des mois durant, elle a bossé, bossé, si bien qu'elle n'en est plus sortie. elle avait la vision des meilleurs enseignements d'art en tête, elle avait de l'ambition, peut-être la seule qu'elle aura réellement au cours de sa vie. les SATs, elle les a passé tout juste, mais elle en était sacrément fière. son dossier il était clean, pas un dérapage, une bonne conduite, un petit parcours mais des recommandations. l'essay qu'elle a rédigé, elle y a mis cœur et âme. elle l'a lu à tout le monde pendant un moment, elle se pavanait telle un paon avec son papier à la main. et finalement, l'entretien. elle avait sacrément le trac, la gosse. pas encore aussi à l'aise que maintenant, mais elle a pris son courage à deux mains, elle a parlé avec ses rêves et ça a porté ses fruits. alors, ouais, elle peut se vanter d'avoir réussi sans l'aide de personne, sans être quelqu'un de spécialement important, sans avantages. seulement à la sueur de son front.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pathetic fallacy (axelle) et j'ai 19 ans . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart . ILH c'est le sang alors je suis déjà présent sur le forum sous les traits de idris calabresi (winthrop house) J'utilise romee strijd comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par ailahoz . Je fais environ ça dépend et mon personnage est un personnage inventé .
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GWENDOLINE D. LAWSON ► tiera skovbye
47 Réponses2772 Vues
Gwendoline D.
Lawson
Lawson
feat Tiera Skovbye
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L'INSPECTEUR DES TRAVAUX
5 Réponses188 Vues
Kida
Warwick
Warwick
feat Cole Mohr
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TIROIR 1
Des mots doux,
Des mots doux,
TIROIR 2
Bwop
Bwop
TIROIR 3
Bloup
Bloup
TIROIR 4
Blop
Blop
libre pris
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friendship is magic, les potes (les vrais)
"j'peux pas te voir en peinture" (l'ennemi à exterminer)
la figure de proue, le modèle vivant qu'il rêve de dessiner
le terre à terre (Kida le déteste et... l'aime, c'est bizarre)
friendship is magic, les potes (les vrais)
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le terre à terre (Kida le déteste et... l'aime, c'est bizarre)
KIDA WARWICK ►cole mohr
25 Réponses1059 Vues
Kida
Warwick
Warwick
feat Cole Mohr
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GROUPE 1.
L'art, voilà ce qui ressemble à Kida ! C'est les couleurs, la peinture sur les doigts, les traces de fusain sur la face et les mots-poètes couchés sur le papier. Kida il vit pour ça, pour créer, pour composer, pour partager. Peut-être pour détruire après, mais toujours dans le but de recommencer. Il s'arrête jamais, c'est d'ailleurs pour ça qu'on est un peu obligé de le reprendre, parfois, de dire "Stop arrête-toi" parce qu'il plonge dans ses créations depuis trop longtemps déjà. Oui mais c'est ça l'art, qu'il dirait, c'est le vivre et le devenir.
GROUPE 2.
... Et si cet art ne veut pas de lui (Ô grand damn), il lui reste l'esprit d'équipe. La cohésion et la communication, Kida il fait attention. C'est vrai qu'ils sont ouverts d'esprit là-bas ? Alors c'est aussi ça qu'il lui faut. Des libres penseurs et révolutionnaires, un fragment de son âme-enfant. Kida faudrait pas l'enfermer dans une caste, un cercle fermé avec une réputation à tenir : faut le laisser virevolter, vibrer comme ça et dessiner. Même si c'est pas la renom première de sa maison, on ne peut pas empêcher l'artisan de fabriquer.
L'art, voilà ce qui ressemble à Kida ! C'est les couleurs, la peinture sur les doigts, les traces de fusain sur la face et les mots-poètes couchés sur le papier. Kida il vit pour ça, pour créer, pour composer, pour partager. Peut-être pour détruire après, mais toujours dans le but de recommencer. Il s'arrête jamais, c'est d'ailleurs pour ça qu'on est un peu obligé de le reprendre, parfois, de dire "Stop arrête-toi" parce qu'il plonge dans ses créations depuis trop longtemps déjà. Oui mais c'est ça l'art, qu'il dirait, c'est le vivre et le devenir.
GROUPE 2.
... Et si cet art ne veut pas de lui (Ô grand damn), il lui reste l'esprit d'équipe. La cohésion et la communication, Kida il fait attention. C'est vrai qu'ils sont ouverts d'esprit là-bas ? Alors c'est aussi ça qu'il lui faut. Des libres penseurs et révolutionnaires, un fragment de son âme-enfant. Kida faudrait pas l'enfermer dans une caste, un cercle fermé avec une réputation à tenir : faut le laisser virevolter, vibrer comme ça et dessiner. Même si c'est pas la renom première de sa maison, on ne peut pas empêcher l'artisan de fabriquer.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
C'est arrivé la première année de son cursus à Harvard. Kida venait fraîchement de se faire accepter dans le prestigieux domaine scolaire quand les agressions ont eu lieu. Alors oui, évidemment, l'affolement général et la peur omniprésente sont arrivés jusqu'à lui et l'ont fait trembler, lui aussi. "En tant que garçon, j'ai moins de risques ?" Qu'il pensait le jeune Kida. Qu'il pense toujours, parfois. La prise d'otages il l'a pas vu venir non plus, comme beaucoup d'autres. Toutefois il n'a pas fait partie des embringués pris au cœur de l'histoire, ayant seulement été témoin des échos et des On dit.
C'est arrivé la première année de son cursus à Harvard. Kida venait fraîchement de se faire accepter dans le prestigieux domaine scolaire quand les agressions ont eu lieu. Alors oui, évidemment, l'affolement général et la peur omniprésente sont arrivés jusqu'à lui et l'ont fait trembler, lui aussi. "En tant que garçon, j'ai moins de risques ?" Qu'il pensait le jeune Kida. Qu'il pense toujours, parfois. La prise d'otages il l'a pas vu venir non plus, comme beaucoup d'autres. Toutefois il n'a pas fait partie des embringués pris au cœur de l'histoire, ayant seulement été témoin des échos et des On dit.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
Appelons ça une chance de cocu ou un ridicule hasard : Kida n'a pas participé au Spring Break l'été de 2016, pour une raison simple : il a préféré profiter de la période estivale pour rentrer au bercail et savourer la présence familiale. Peut-être que la normalité de la situation lui a évité une catastrophe éprouvante et terrifiante : quand il a entendu parler du tremblement depuis son home sweet home, le dessinateur en lui s'est senti obligé d'illustrer quelques bannières pour soutenir les évènements et ceux qui en avaient échappés. On peut considérer la chose comme "nulle", mais à ses yeux ce geste avait bel et bien de l'importance. Aujourd'hui encore.
Appelons ça une chance de cocu ou un ridicule hasard : Kida n'a pas participé au Spring Break l'été de 2016, pour une raison simple : il a préféré profiter de la période estivale pour rentrer au bercail et savourer la présence familiale. Peut-être que la normalité de la situation lui a évité une catastrophe éprouvante et terrifiante : quand il a entendu parler du tremblement depuis son home sweet home, le dessinateur en lui s'est senti obligé d'illustrer quelques bannières pour soutenir les évènements et ceux qui en avaient échappés. On peut considérer la chose comme "nulle", mais à ses yeux ce geste avait bel et bien de l'importance. Aujourd'hui encore.
TON ADMISSION A HARVARD
C'était une sorte de course contre la montre, un défi avec moi-même ou la dernière marche à gravir sur un escalier de 300km. Je l'ai voulu : je l'ai eu. Pour ça, j'ai sué, et pas qu'un peu. D'habitude les démarches administratives et moi, c'est vraiment la merde. Un manque de contact humain profond et improbable, mais là, ça a été différent. Au départ le prix nous avait explosé dans les yeux, on s'est dit que ça allait juste être impossible. Le On, c'est mes parents, je m'inclus pas dedans même si j'avoue y avoir cru aussi. Pourtant ils m'ont fait confiance, j'ai bossé de dingue (la passion c'est vraiment du boulot ? Je pense pas, j'en serais pas là sinon), serré mes tripes pour sortir les plus grandes fresques et les projets les plus fous de mes entrailles. J'ai pas lâché le pinceau, le crayon, ni le morceau. Ils ont su apprécier mon élocution, la facilité avec laquelle je traduis les émotions sur la matière et ma façon d'être. C'est comme ça qu'on gagne : en se battant. Je suis resté dans le ring et je compte pas me faire radier maintenant.
C'était une sorte de course contre la montre, un défi avec moi-même ou la dernière marche à gravir sur un escalier de 300km. Je l'ai voulu : je l'ai eu. Pour ça, j'ai sué, et pas qu'un peu. D'habitude les démarches administratives et moi, c'est vraiment la merde. Un manque de contact humain profond et improbable, mais là, ça a été différent. Au départ le prix nous avait explosé dans les yeux, on s'est dit que ça allait juste être impossible. Le On, c'est mes parents, je m'inclus pas dedans même si j'avoue y avoir cru aussi. Pourtant ils m'ont fait confiance, j'ai bossé de dingue (la passion c'est vraiment du boulot ? Je pense pas, j'en serais pas là sinon), serré mes tripes pour sortir les plus grandes fresques et les projets les plus fous de mes entrailles. J'ai pas lâché le pinceau, le crayon, ni le morceau. Ils ont su apprécier mon élocution, la facilité avec laquelle je traduis les émotions sur la matière et ma façon d'être. C'est comme ça qu'on gagne : en se battant. Je suis resté dans le ring et je compte pas me faire radier maintenant.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Brynhild et j'ai cinquante-huit ans . Je suis de France et j'ai connu le forum grâce à un top-site . C'est giganteeesque par-ci wooooh ! J'en suis toute retournée hahaha mais ça va ! (Par contre il y a moyen de virer l'astérisque de mon pseudo ? Je vous avoue que j'ai lamentablement échoué l'entrée de mon adresse e-mail au tout début et ai dû recommencer la procédure haha merci) Je sens que le cheminement va être long. Mais je tiens bon alors j'ai décidé de m'inscrire ! J'utilise Cole Mohr comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par .REED . Je fais environ 500 mots par RP mais je m'arrête pas à ça hahaha et mon personnage est un personnage inventé crée par un cerveau un peu lent qui est le mien.
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7634]►[/url] ► <span class="pris">COLE MOHR</span> ♦ “ Kida Warwick ”[/size]
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